(Après l'arrêt de mort prononcé le 12 juillet 1839).
"Les rayons et les ombres (1840)" Le 12 juillet 1839, à minuit.
#ÉcrivainsFrançais
Une terre au flanc maigre, âpre, a… Où les vivants pensifs travaillent… Et qui donne à regret à cette race… Un peu de pain pour tant de labeur… Des hommes durs, éclos sur ces sil…
Mon père, ce héros au sourire si d… Suivi d’un seul housard qu’il aima… Pour sa grande bravoure et pour sa… Parcourait à cheval, le soir d’une… Le champ couvert de morts sur qui…
Ô poète ! pourquoi tes stances fav… Marchent-elles toujours cueillant… Toujours des liserons et toujours… Et vont-elles s’asseoir au fond de… Laissant sur leurs pieds nus, lavé…
Malgré moi je reviens, et mes vers… À cet homme qui fut si misérable,… Et dont Mathieu Molé, chez les mo… Parle à Boissy d’Anglas. Ô loi sainte ! Justice ! où tout p…
IX. Toi qu’aimait Juvénal gonflé de l… Toi dont la clarté luit dans l’oei… Muse Indignation, viens, dressons… Dressons sur cet empire heureux et…
II. Le poète s’en va dans les champs ;… Il adore ; il écoute en lui-même u… Et le voyant venir, les fleurs, to… Celles qui des rubis font pâlir le…
Oui, mon vers croit pouvoir, sans… Prendre à la prose un peu de son a… André, c’est vrai, je ris quelquef… Voici pourquoi, tout jeune encor,… Dans le livre effrayant des forêts…
Rien encore n’a germé de vos ramea… Sur notre jeune terre où, depuis q… Tant d’âmes se sont échouées, Doctrines aux fruits d’or, espoir… Que la hâtive main des révolutions
Le firmament est plein de la vaste… Tout est joie, innocence, espoir,… Le beau lac brille au fond du vall… Le champ sera fécond, la vigne ser… Tout regorge de sève et de vie et…
Toujours, même en un désastre, Les yeux étaient éblouis, Le grand Louis, c’était l’astre ; Dieu, c’était le grand Louis. Bossuet était fort pleutre,
J’ai vu pendant trois jours de hai… L’eau refléter des feux et charrie… Dans une grande et noble ville. Le tisserand, par l’ombre et la fa… De son dernier métier brûlé sur le…
À quoi je songe ?—Hélas ! loin du… Enfants, je songe à vous ! à vous,… Espoir de mon été déjà penchant et… Rameaux dont, tous les ans, l’ombr… Douces âmes à peine au jour épanou…
Méditons. Il est bon que l’esprit… De ces spectacles-là. L’on n’étai… De perroquet ayant un grand nom po… Pauvre diable de prince, usant son… Auquel mil huit cent quinze avait…
Enfants !– Oh ! ¡ revenez ! Tout… Je vous ai de ma chambre exilés en… Rauque et tout hérissé de paroles… Et qu’aviez-vous donc fait, bandit… Quel crime ? quel exploit ? quel f…
Certes, une telle mort, ignorée ou… N’importe pas au siècle, et rien n… On n’en parle pas même et l’on pas… Mais lorsque, grandissant sous le… L’aveugle suicide étend son aile s…