(Après l'arrêt de mort prononcé le 12 juillet 1839).
"Les rayons et les ombres (1840)" Le 12 juillet 1839, à minuit.
#ÉcrivainsFrançais
—Qu’a donc l’ombre d’Allah ? disa… Son aumône est bien pauvre et son… Sombre, immobile, avare, il rit d’… A-t-il donc ébréché le sabre de so… Ou bien de ses soldats autour de s…
C’est à coups de canon qu’on rend… Nous sommes revenus de tous ces gr… —Progrès, fraternité, mission de l… Droits de l’homme, raison, liberté… Socrate est fou ; lisez Lélut qui…
Donc, vieux partis, voilà votre ho… Aux jours sereins, quand rien ne n… Dogue aboyant, dragon farouche, hy… Taupe aux jours du danger ! Pour le mettre à leur tête, en nos…
La philosophie ose escalader le ci… Triste, elle est là. Qui donc t’a… Oh ! Quel monceau d’efforts sans… De songes, de leçons, de dogmes, d… Ruche qu’emplit de bruit et de tro…
Muse, un nommé Ségur, évêque, m’e… Cet homme violet me damne en mauva… Sa prose réjouit les hiboux dans l… Ô Muse, n’ayons point contre lui d… Laissons-lui ce joujou qu’il prend…
Ce qu’on appelle Charte ou Consti… C’est un antre qu’un peuple en rév… Creuse dans le granit, abri sûr et… Joyeux, le peuple enferme en cette… Ses conquêtes, ses droits, payés d…
Être riche n’est pas l’affaire ; Toute l’affaire est de charmer ; Du palais du grenier diffère En ce qu’on y sait mieux aimer. L’aube au seuil, un grabat dans l’…
Ô cadavres, parlez ! quels sont vo… Quelles mains ont plongé ces style… Toi d’abord, que je vois dans cett… Ton nom ?—Religion.—Ton meurtrier… —Vous, vos noms ?—Probité, pudeur…
La hache ? Non. Jamais. Je n’en… Pas même pour ce czar devant qui j… Pas même pour ce monstre à lui-mêm… Qui supprime Tyburn abolit White… Et quand la mort, ouvrant son désa…
L’année en s’enfuyant par l’année… Encore une qui meurt ! encore un p… Encore une limite atteinte dans la… Encore un sombre hiver jeté sur no… Le temps ! les ans ! les jours ! m…
Une de plus que les muses ; Elles sont DIX. On croirait, Quand leurs jeunes voix confuses Bruissent dans la forêt, Entendre, sous les caresses
LE SÉNAT. Vibrez, trombone et chanterelle ! Les oiseaux chantent dans les nids… La joie est chose naturelle. Que Magnan danse la trénis
Ô honte ! ce n’est pas seulement c… Sacrée alors pour tous, faible cœu… Mais c’est lui, c’est son nom dans… Ce sont les cheveux blancs de son… C’est la pudeur publique en face r…
VIII. Ô Dieu, puisque voilà ce qu’a fait… Puisque, comme une porte est barré… Elle est sourde à l’honneur, Puisque tous ces soldats rampent s…
Il faut que le poète, épris d’ombr… Esprit doux et splendide, au rayon… Qui marche devant tous, éclairant… Chanteur mystérieux qu’en tressail… Les femmes, les songeurs, les sage…