Verts gazons où fleurit la blanche… Ombrage qu’au printemps la violett… Vallons, bocage, humble sentier, Dont la mousse reçoit cette pluie… Qui tombe au gré des vents du fron…
Quoiqu’on tient belles langagères Florentines, Vénitiennes, Assez pour être messagères, Et mêmement les anciennes, Mais soient Lombardes, Romaines.
Sonnet. Croissez, jeune héros ; notre doul… N’a que ce doux espoir qui la puis… Croissez, et hâtez-vous de faire v… Que le plus noble sang peut encor…
Ô qu’il est beau cet esprit immort… Gardien sacré de notre destinée ! Des fleurs d’Eden sa tête est cou… Il resplendit de l’éclat éternel. Dès le berceau sa voix mystérieuse…
Aux Dames, pour les demi-Dieux ma… Neptune, dans le carrousel des qua… En mars 1606. Ô qu’une sagesse profonde Aux aventures de ce monde
Chrétien, la cloche t’appelle, Viens donc, viens donc, Viens prier à la chapelle, Viens chercher le saint pardon. C’est pour l’Église romaine
Quand tu es près de mon champ de r… L’agitation se déroule dans tous m… Mon esprit se trouve être en plein… A travers mon corps en pleine déli… Quand je vois tes cheveux d’or et…
Je remercie l’air pour remplir mes poumons, en laissant le corps dans la calme absolue ; Je remercie le cœur
Morire. Oh le printemps ! – Je voudrais p… C’est drôle, est-ce pas : Les mou… Font toujours ouvrir leur fenêtre, Jaloux de leur part de printemps !
–N’aimes-tu pas ce temps de discrè… Aube faite de grâce et de sérénité… Où, rêvant qu’une bouche appuiera… Tu marches au hasard, distrait quo… Tu parles et tu ris, l’esprit cour…
Jeté par le hasard sur un vieux gl… A l’abandon, perdu comme en un océ… Je surnage un moment et flotte à f… Épave du néant. Et pourtant, c’est à moi, quand su…
(Sur le départ de Madame la marqu… Allez, belle marquise, allez en d’… Semer les doux périls qui naissent… Vous trouverez partout les âmes to… A recevoir vos lois et grossir vos…
Paris en Juin. L’été débute par l… Et, rouvrant ma croisée à l’aube,… De voir le ciel toujours brouillé… Sous mes yeux assoupis rien de ble… C’est la rue et la fange, au mois…
C’est une grande allée à deux rang… Les enfants, en plein jour, n’osen… Tant elle est haute, large et somb… Il y fait froid l’été presque auta… On ne sait quel sommeil en appesan…
De mes rêves brillants douce et fr… Ces chants, que produisit un trop… C’est au poète de la France, C’est à toi, Béranger, que j’ose… J’aurais pu, leur donnant un essor…
Sonnet. Ne ris point des sonnets, ô critiq… Par amour autrefois en fit le gran… C’est sur ce luth heureux que Pét… Et que le Tasse aux fers soulage…
Rêvant aux métamorphoses Que les dieux faisaient jadis : « Belles se changeaient en roses, Disait l’aimable Doris. Heureux temps pour un cœur tendre…
Sonnet LXXVIII. Je ne te conterai de Bologne et V… De Padoue et Ferrare et de Milan… De Naples, de Florence, et lesque… Meilleures pour la guerre ou pour…
LUI Qui donc es-tu, toi qui ressembles… Et dont les yeux ont l’air de sole… Dans le val de Tristesse où mes p… Tes soupirs et les miens ne se son…
Ai-je voulu ma vie assez libre et… Pleine d’amour, de bruit, de dépar… L’ai-je nourrie assez de labeurs,… De quadrilles parmi les passions h… Et de courses vaguant des bas-fond…
Je veux d’une plainte suave Exhaler ma peine au soleil Et que mon chant soit pur et grave Comme une campagne au réveil : Une campagne solitaire
Ne t’émerveille point que chacun i… Qu’il dédaigne un chacun, qu’il n’… Qu’aux ouvrages d’autrui il veuill… Et comme un Aristarq lui-même s’a… Paschal, c’est un pédant : et quoi…
C est le journal de bord .. Noël… C est les mots du poète Alain . Tu vois .. il faut plusieurs aman… Pour se faire baisé sur le canapé… Le plaisir d avoir le cœur et le c…
Petite maison basse, au grand chap… Qui, d’hiver en hiver, semble s’êt… Dans la terre sans fleurs, autour… Petite maison grise, au grand chap… Au lointain bleu, là-bas, dis-le-m…
De force, au chemin qui nous coule… Pourquoi, Seigneur, nous pousser… Si le Christ a fraye la route, Il savait ! Et que savons-nous ? Il souffrait pour sauver le monde,
Dieu sait bien que la femme est ma… Mais l’époux généreux, chez l’épou… S’ils sont deux bons chrétiens en… Libre, vit dans la paix, loin des… Simple, comme un enfant qui partag…
Un soir, je vis une hirondelle Descendre du haut du ciel bleu Et s’élancer à tire d’aile Sous les absides du saint lieu. Et depuis, dans les vapeurs blanch…
Telle qu’une vapeur s’épaississant… La nuit grave s’étend sur les îles… Les plus belles au loin, déjà semb… Et les rives n’ont plus que de fuy… A mes pieds, le vent d’est chassan…
Jeune levrette, au poil d’ébène, Au flanc mince, au col assoupli, Ton dos, où ma main se promène, A l’éclat de l’acier poli. Tu dresses tes noires oreilles
Je t’apporte un cœur bien las. Ne me dis plus que tu m’aimes ; Une autre m’a dit, hélas ! Les mêmes choses, les mêmes. C’était avec ses yeux d’or
Au fond de toi se trouve une maiso… Un endroit au silence apaisant Rempli de douceur et de saisons Au fond de toi se trouve un foyer Un jardin au calme reposant
C c’est la colonne du jeudi . C’est un article sur le journal M… L argent ne fait pas le bonheur… Surtout quand .. tu es devenu le… Celui, qui veut travailler .. san…
N’entends-tu pas ? – Sang et guit… Réponds !... je damnerai plus fort… Nulle ne m’a laissé, Barbare, Aussi longtemps me crier mort ! Ni faire autant de purgatoire !...
Sonnet. Oui – Quel art jaloux dans Ta fin… Quels bibelots chers ! – Un bout… Un coeur gravé dans ta manière noi… Des traits de canif à coups de sty…
Ce ruisseau, dont l’onde tremblant… Réfléchit la clarté des cieux, Paraît dans sa course brillante Étinceler de mille feux ; Tandis qu’au fond du lit paisible,
Il est évident que je trouve un re…
Le jour de sa fête Dans un deuil que mon cœur révère, Pour ta fête en ce jour, ô mon ver… Je n’offre point des fleurs : héla… La rose pour tes yeux serait encor…
Le soir a tendu de sa brume Les peupliers de Keranroux. La première étoile s’allume : Viens-t’en voir les peupliers roux… Fouettés des vents, battus des grê…
Il était une fois un garçon Qui tous les soirs Après quelques verres de cette Bl… Montait aux réverbères de la ville Pendu à son lampadaire comme un ét…
Ô la plus belle des maîtresses, Fuyons dans nos plaisirs la lumièr… Ne disons point au jour les secret… Aux regards inquiets dérobons nos… L’amour heureux se trahit aisément…
Comment disparaître quand nous som… par tous ? Ton âme n’est vue que par toi-même… Cependant, je souhaiterais la cont… Si tu voulais bien me la montrer.
A penes s’ha escrit de la teua immarcescible bellesa, Lua, Observar-te nueta quan dorms i et lliberes als constrastos del nostre santuari, és per a mi com aturar el cronòfag en la llum ...
Ah ! si la Muse était tant soit p… Chanter, vraiment, serait emploi d… Point ne pourrait le plus petit O… La bouche ouvrir, qu’on ne vît de… Courir les gens. Oui, nous ferion…
Si par peine et sueur et par fidél… Par humble servitude et longue pat… Employer corps et biens, esprit et… Et du tout mépriser sa propre util… Si pour n’avoir jamais par importu…
La nuit enveloppait les sept Mont… Dans l’oratoire clos, le Pape Inn… Mains jointes, méditait, vêtu de b… Ou se détachait l’or pectoral de l… Du dôme surbaissé, seule, une lamp…
Les tapis fortement secoués laissaient des signes entre les arbres. On les avait déteints avec les pieds. Sur les quais, avec un regard attendri, les têtes se tournaient, mais les passa...
Enfin j’ai cédé, je me plie Encor cette fois sous ta main. Ta volonté s’est accomplie : Me voilà hors de ton chemin. Pourtant, parce que trop docile
Sur le corps musclé .. ma main s… Elle vient de caressée le dard pui… Elle part à l aventure sur les tes… C est le beau mec .. le vrai Apol… Tu vois l ami .. avec son gland,…
Soupirs épars, sanglots en l’air p… Témoins piteux des douleurs de ma… Regrets tranchants avortés de ma p… Et vous, mes yeux, en mes larmes f… Désirs tremblants, mes pensers épe…
Sonnet LXXI. Ce brave qui se croit, pour un jaq… Être un second Roland, ce dissimul… Qui superbe aux amis, aux ennemis… Contrefait l’habile homme et ne di…
Allons-y chers aventuriers À la découverte du monde À la conquête de votre curiosité Pour se mêler à la différence. Des langues
Il est de ces longs jours d’indici… Où l’on voudrait dormir du lourd s… De ces heures d’angoisse où l’exis… Sur l’âme et sur le corps : Alors on cherche en vain une douce…
C’est les fragments de poésies . J écris des mots pour l histoire… Qui vont restés dans nos mémoires… Des phrases .. qui résonnent dans… Avec le soleil majestueux .. la p…
Nous sommes deux enfants et nous s… Nos cœurs sont enlacés ; nous enla… Toi, femme aux pleurs bénis, forte… Moi, sérieux, déjà penché sur les… Nous vivons ; nous chantons ; nous…
Sonnet XXX. Quiconque, mon Bailleul, fait lon… Sous un ciel inconnu, et quiconque… D’aller de port en port cherchant… Et peut vivre étranger dessous un…
Sonnet. Nos yeux se sont croisés et nous n… Née au siècle où je vis et passant… Dans le double infini du temps et… Tu ne me cherchais point, tu ne m’…
Les Mavromikhalis, les aigles du… Ont traqué trois cents Turks dans… Et, de l’aube à midi, font siffler… Balles et rocs du faîte ardu de la… L’amorce sèche brûle et jaillit pa…
Bien au delà des jours, des Ans m… Du vertige des Temps dont la fuit… Voici ce que j’ai vu, dans l’immua… Qui me hante, depuis les songes ou… J’errais, seul, sur la Terre. Et…
Je ne veux plus lire de lettre, Sauf les lettres que le facteur Sera chargé de me remettre, Comme après tout on est le maître De lire tel ou tel auteur.
Bonjour .. j écris le chapitre d… C 'est des mots sur le clavier noi… Nous .. nous sommes devenus des di… Les personnes des années cinquante… Je viens de corriger les notes sur…