« Donner, donner ! vite appauvrit… Gardons-nous de toute largesse ; S’enrichir, voilà la sagesse Gagner pour soi, voilà l’esprit !… —Vous le croyez, troupe gloutonne,
Toi qui près d’un beau visage Ne veux que feindre l’amour, Tu pourrais bien quelque jour Éprouver à ton dommage Que souvent la fiction
Mes doigts se sont posés, sur ce c… Se tenir amnésique, d’une journée… Alors que l’univers, est notre mai… Bien sûr que je l’ai eu, ce gamin… Lui qui vit chaque instant, tel le…
Quand je célèbre un si beau jour, D’aucune Muse mon amour N’implore le caprice ; Pour faire un couplet bien tourné, Maman, ne m’as-tu pas donné
Sonnet LXXXIX. Gordes, il m’est avis que je suis… Comme un qui tout ému d’un effroya… Se réveille en sursaut et par le l… S’émerveillant d’avoir si longtemp…
On connaît toujours trop les cause… Mais on cherche parfois celles de… Je m’éveille parfois l’âme toute s… Sous un charme étranger que je ne… Un ciel rose envahit mon être et m…
De ma chambre Le décor est pour moi Toujours nouveau Le ciel d’un bleu limpide Les grands arbres verts
Un animal cornu blessa de quelques… Le lion, qui plein de courroux, Pour ne plus tomber en la peine, Bannit des lieux de son domaine Toute bête portant des cornes à so…
(Écrite à Bâville où était le P.… Que Bâville me semble aimable, Quand des magistrats le plus grand Permet que Bacchus à sa table Soit notre premier président !
Fable XIII, Livre IV. A-t-on des puces, mes amis, Il faut songer à s’en défaire. Mais loin qu’il fût de cet avis, Certain barbet jadis faisait tout…
On cherche tous notre place, dans… A croire qu’il n’y a de foie, qu’a… Tout ça est insipide, de larges ri… Qui coulent toutes en cœur, avec u… Que n’efface le bonheur, qui est d…
Fable III, Livre IV. Madame était au bal, monsieur étai… Et leurs gens, comme on l’imagine, Sur le poêle assoupis, s’inquiétai… D’une pincette de cuisine,
(Au nom de Madame de Fontaine-Ma… C’est mercredi que je soupais chez… Et que, sortant des plaisirs de la… Bientôt couchée, un sommeil prompt… Me fit présent d’un songe délectab…
Tableau X. Cependant Valsin infidèle Ne cessa point d’être constant ; Justine, aussi douce que belle, Pardonna l’erreur d’un instant.
Fable III, Livre I. D’Actéon, mes amis, vous savez l’… Vous savez qu’un peu cher il paya… Où la seule Diane a pu voir une i… Aux mots qu’en son courroux cette…
Sur mes vingt ans, pur d’offense e… Guidé, mal-caut, d’un trop aveugle… Ayant encore le menton damoiseau, Sain et gaillard je vins à ton ser… Mais, ô cruelle, outré de ta malic…
Seul, assis entre les bambous, Je joue de la cithare et je siffle… Dans la foret, oublié par les homm… La lune s’est approché : clarté.
La vie est si souvent morne & déco… À l’ennui l’heure lourde est tant… Que le corps s’engourdit, Et que l’âme, fuyant les épreuves… S’envole & vient saisir à travers…
(Après la mort de sa fille.) Quel est donc ce chagrin auquel je… Nous nous étions connus par l’espr… Nous n’avions fait que rire, et ca… Quand sa vivacité coudoya ma pares…
Une première impression Peut définir l’avenir Et il suffit d’un sourire Pour une relation établir Un sourire naturel
Chanson. À Saint-Blaise, à la Zuecca, Vous étiez, vous étiez bien aise À Saint-Blaise. À Saint-Blaise, à la Zuecca,
Ah ! qu’elle est belle !... qu’ell… Oh ! qu’il doit avoir de bonheur Celui qui respire près d’elle, Celui qui fait battre son cœur ! Et l’on m’a dit : « Non !... cett…
A penes s’ha escrit de la teua immarcescible bellesa, Lua, Observar-te nueta quan dorms i et lliberes als constrastos del nostre santuari, és per a mi com aturar el cronòfag en la llum ...
Sonnet. Ne meurs pas encore, ô divin Dési… Qui sur toutes choses Vas battant de l’aile et deviens p… Dès que tu te poses.
Chacun donne à celle qu’il aime Les plus beaux noms et les plus do… Pour moi, c’est ton nom de baptême Que je préfère encore à tous. Simple et tendre à dire, il me sem…
Je fus son chaos, elle fut ma paix… Une tornade dans sa vie, flottait, Lorsqu’un soleil dans la mienne, r… Et sa peau lattée, qui me disait : “ arrête de te sentir flatté ”,
Il neige à nos vitres glacées ; Mais viens ! Durant les mauvais m… Les âmes des fleurs trépassées Habitent encore dans les bois. L’air s’imprègne d’odeurs plus dou…
Que tu es belle la mer ! Ta robe couleur d’azur Ondule au gré du vent Ta parure scintille En paillettes d’argent
Dans chaque promenade —en forêt ou en ville Dans chaque sortie —avant ou après le resto Dans chaque escapade
le moment viendrait où tout triomp… ne serait que souvenir émietté sur le sentier de ta mémoire écorc… ce moment où tu repartirais sans désirs assouvi…