Pour le roi allant en Limousin. 1605. Ô Dieu, dont les bontés, de nos la… Ont aux vaines fureurs les armes a… Et rangé l’insolence aux pieds de…
merci Ô Dieu, merci mon Dieu, De nous rendre tous joyeux, Nous rassemblant ici, Dans une paisible vie.
Bonjour, c’est le poète Alain . C’est le choix des mots .. le jou… J adore regarder les belles bites… J adore les prendres dans les main… J aime ça .. masturber les beaux…
Une année entière Cela fait une année entière que j’… Une précieuse année dans ma vie, Mon talent qui lentement progresse… Et qui en quantité jamais ne cesse…
Là-haut qui sourit ? Est-ce un esprit ? Est-ce une femme ? Quel front sombre et doux ! Peuple, à genoux !
Bouton de rose A toi, bel ange que je ne connais… S’adresse ce poème qui pour moi va… Aujourd’hui je t’exprime ces quelq… Ceux qui résonnent comme un joyeux…
Potimarron, Quand je t’ai aperçu, tu étais seu… Délaissé d’intérêt, en attendant l… Tu as cru jusque là, profiter d’ha… Ressembler à tes sœurs, de trois f…
Par monts, par vaux, près des rivi… Les frimas font à volonté Des blocs d’ombre et d’humidité Avec le gisement des pierres. Sous le vert froid des houx, des l…
T’en souviens-tu, mon aimable maît… De cette nuit où nos brûlants dési… Et de nos goûts la libertine adres… À chaque instant variaient nos pla… De ces plaisirs le docile théâtre
C est le chapitre du jeudi poésie… Ce matin .. j ai préparé le café… Le jus du mâle .. le lait crémeux… Mon copain s est levé et aller pre… Tu vois .. je suis rentré sous la…
A changer ce monde, en bain de bon… A transformer les frondes, en lumi… Je ne suis pas artistes, juste mél… D’une nature reine, où grandissent… Où les arbres centenaires, apprenn…
Ces hommes qui mourront, foule abj… Sont de la boue avant d’être de la… Oui, certes, ils passeront et mour… Leur vue à l’honnête homme inspire… Envieux, consumés de rages puérile…
Fuyez au mont inabordable ! Fuyez dans le creux du vallon ! Une nation formidable Vient du côté de l’aquilon. Ils auront de bons capitaines,
Oui, j’en atteste la nuit sombre Confidente de nos plaisirs, Et qui verra toujours son ombre Disparaître avant mes désirs ; J’atteste l’étoile amoureuse
« Du vin ! Nous sommes trois ; du… Hôtesse ! nous voulons chanter jus… As-tu toujours ta vigne et ta fill… L’amour, le vin, voilà les seuls b… —Entrez, seigneurs, entrez.... le…
Sonnet. Rondement, Mathurin Mène dans sa carriole La Dame qui s’affole De filer d’un tel train.
Le poète Alain est de retour ..… Mais, toujours debout et vivant . Pour l amour des hommes nus . Et tenir en respect .. la mort . Le plaisir de branler le dard puis…
Le monde était grand ouvert, par la vitre baissée qui encourageait les lucioles dans les estives de tes cheveux défaits. Au bout de tes cils, le temps se balançait comme un enfant étour...
Dans Arle, où sont les Aliscams, Quand l’ombre est rouge, sous les… Et clair le temps, Prends garde à la douceur des chos… Lorsque tu sens battre sans cause
Stances au Roi Henri Le Grand. 1610. À la fin tant d’amants, dont les â… Languissent nuit et jour, Verront sur leur auteur leurs pein…
L’homme pauvre du cœur est-il si r… Non. Et je suis cet homme et vous… Et tous les hommes sont cet homme… Ou le seront quand l’heure opportu… Conçus dans l’agonie épuisée et pl…
Les pieds branlants et lourds et l… Moins utile qu’aimé, vieilli comme… Mais d’un attrait pareil à celui d… Le clavecin repose, immobile et mu… L’œil avait des lueurs et le cœur…
Contrerime XXVII. Cet huissier, qui jetait, l’été, Toute autre odeur que l’ambre, Avait le nom d’un pot de chambre Et la fétidité.
Élégie II. C’en est donc fait ! par des tyran… Malgré ses pleurs à l’autel entraî… Elle a subi le joug de l’hyménée. Elle a détruit par des nœuds solen…
Contrerime XLII. À l’Alcazar neuf, où don Jayme Gratte un air maugrabin, Carmen dansant dans son lubin : Ce n’est pas ce que j’aime.
Le spectre que parfois je rencontr… —Pourquoi ris-tu ? Lui dis-je.—Il… Regarde. Il me montrait dans l’ombre un cim… J’y vis une humble croix près d’un…
Trop tard Après de longues années de silence… Auxquelles mon coeur était armé de… Je n’ose croire que j’ai commis l’… Le temps est passé ainsi que mon b…
Sa robe était de tulle avec des ro… Et rose pâle était sa lèvre, et se… Froids et bleus comme l’eau qui rê… La mer Tyrrhénienne aux langueurs… Berçait sa vie éparse en suaves pé…
Lors de ma dix-septième année, Quand j’aimais & quand je rêvais, Quand, par l’espérance entraînée, J’allais, riant des jours mauvais… Quand l’amour, ce charmeur suprême…
Tableau X. Cependant Valsin infidèle Ne cessa point d’être constant ; Justine, aussi douce que belle, Pardonna l’erreur d’un instant.
Virage Il lui suffit d’un drift, pour lea… Qui n’aiment rien de droit, aucune… L adaptation est joie, aucun ne se… L’idée est toujours chercher, à êt…
Sonnet. Dans le parc vaporeux où l’heure s… Les robes de satin et les sveltes… Se mêlent, reflétés au ciel calme… Et c’est la fin d’un soir infini q…
Si j’aime les trains c’est sans do… plus vite que les enterrements dernier tango tu n’es qu’une sonne… d’un corridor J’enfile lentement des serrures da…
Le poète Alain avait toujours rai… Le père Noël avait dérobé des cai… L homme avait combattu sur plusieu… Aujourd’hui .. il vient de s occu… Sur la colline .. des oiseaux de…
Contrerime XLI. —" Bayonne ! Un pas sous les Arce… Que faut-il davantage Pour y mettre son héritage Ou son coeur en morceaux ?
Mon amie Si loin de moi et après des années… Malgré cette longue séparation tra… L’un comme l’autre nous avons mon… Voici bientôt nos retrouvailles ta…
un long retour Mes yeux sont emplis de larmes, Se rappelant de ton tendre charme, Et se rappellent de ton sourire, Celui qui lui a fait tant rire.
C’est mon histoire . J adore les hommes nus .. le soi… Être baisé .. le plaisir de la nu… Se faire enculé .. la belle poési… J adore le gland crémeux et vigour…
Cygnes au blanc plumage, au port m… Est-il vrai, dites-moi, qu’un chan… De vos jours écoulés rompant le lo… Lorsque va se briser votre frêle e… Comme un cri de bonheur s’élève ve…
Contrerime LXIX. Quand l’âge, à me fondre en débris… Vous-même aura glacée Qui n’avez su de ma pensée Me sacrer les abris ;
D’un tel vouloir le serf point ne… La liberté, ou son port le navire, Comme j’attends, hélas, de jour en… De toi, Ami, le gracieux retour. Là j’avais mis le but de ma douleu…
Pourtant si ta maîtresse est un pe… Tu ne dois pour cela te courroucer… Voudrais-tu bien haïr ton ami plus… Pour être un peu jureur, ou trop h… Il ne faut prendre ainsi tous péch…
Entrez ! Entrez je vous en prie, ce n’est qu’un poème, vous savez i… Et ce vieillard là-bas, avachit da… Peut-être une perdrix
Au sein d’un asile champêtre Où Damis trouvait le repos, Le plus paisible des ruisseaux, Parmi les fleurs qu’il faisait naî… Roulait nonchalamment ses flots.
Avec trop d’énergie, en descente d… Vainqueur d’un bien grand roi, qui… Pauvre petit arrogant, qui ricoche… Il n’a pas fait semblant, s’ouvran… Nous sommes tous des enfants, qui…
Si tu savais encor te lever de bon… On irait jusqu’au bois, où, dans c… Poursuivant la rainette, un jour,… Tremblante, tes pieds nus ont leur… Déjà le rossignol a tari sa chanso…
Contrerime XXIV. Ah, Curnonsky, non plus que l’aub… N’était bien rigolo Il regardait le fil de l’eau. C’était avant les Taube.
Amour perdu Je croyais t’aimer mon amie, Je n’avais que ton nom à l’esprit. Chaque fois que je te voyais, que… Je ne pouvais pas parler, j’étais…
Mon fils, ma fille, cette bénédict… Dans tout ce que l’on peut posséde… Quelles que soient les richesses,… On a beau amasser beaucoup d’or et… On ne trouve rien de plus précieux…
Pourquoi ne pas aimer lorsqu’on es… Qu’on a la joue en fleur et que so… Où le sein devient fort à rompre l… On aperçoit éclore en leur nid de… Mille petits amours qui, du bout d…
Ses yeux, tout un printemps, éclai… Je marchais ébloui, la tenant par… Elle était le rayon, l’étoile du c… Et tant qu’elle a brillé sur moi,… Ainsi mes jours passaient sans but…
Chaque journée sa couleur, à peind… Le temps offre sa rondeur, chaque… Vers l’infinie mélodie, artiste du… La nature me fleurit, comme la mus… Je vis en plusieurs actes, chacun…
Par l’esprit ou par la fortune J’aime à voir tout homme grandir ; Nulle gloire ne m’importune, Je ne suis pas las d’applaudir ; Je trouve même légitime
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
Peins-moi, Janet, peins-moi, je t… Dans ce tableau les beautés de m’a… De la façon que je te les dirai. Comme importun je ne te supplierai D’un art menteur quelque faveur lu…
Cette âme tourmentée Quelle est donc cette noirceur qui… Quelle est donc cette affliction q… Comment pourrais-je débarrasser mo… Alors qu’en moi un sentiment seman…
Ramènes la mélodie, déposes brume… Autour du rythme, répands monts et… Reprends ta batterie, qui les dess… Ces notes de symphonie, t’enjolive… Chaque brin de partage, est une fl…
Nous sommes les vagues profondes Où les yeux plongent vainement ; Nous sommes les flots et les ondes Qui déroulent autour des mondes Leur manteau d’azur écumant !
Le ciel suave était jonché de pâle… Tes yeux tendres au fond de ton la… Rêvaient : tu flottais toute aux p… Et ton coeur, qu’inclinaient d’ine… Le ciel suave était jonché de pâle…
Femme, sitôt que ton regard Eut transpercé mon existence, J’ai renié vingt espérances, J’ai brisé, d’un geste hagard, Mes dieux, mes amitiés anciennes,