Petit piqueton de Mareuil, Plus clairet qu’un vin d’Argenteu… Que ta saveur est souveraine ! Les Romains ne t’ont pas compris Lorsqu’habitant l’ancien Paris
Comme à d’autres, l’heure et l’hum… L’heure morose ou l’humeur malévol… Nous ont, de leurs sceaux noirs, m… Mais, néanmoins, jamais, Même les soirs des jours mauvais
Comme bercée en un hamac La pensée oscille et tournoie, À cette heure où tout estomac Dans un flot d’absinthe se noie. Et l’absinthe pénètre l’air,
Quand du sort inhumain les tenaill… Du milieu de mon corps tirent crue… Mon coeur qui bat encor’ et pousse… Abandonnant le corps, ses plaintes… Que je sens de douleurs, de peines…
Une flûte au son pur, je ne sais o… C’est dimanche. La ville est pais… Et l’âme à qui l’azur semble toujo… Bénit le soir tombant et la bonté… Pourtant cet air qui pleure au fon…
Elles me portent à chaque ondulation vers terres inconnues ; Les prétentieux des mots Pleurent au chant
Chanson. Un rayon de soleil se brise Sur la branche et sur les buissons… Je m’assieds à l’ombre, où la bris… M’apporte parfums et chansons :
Or, le sage, parti dès son adolesc… Pour juger les flambeaux qui le de… Savait à quel néant marche la conn… Et confondait la vérité d’une croy… Avec l’or, qui vaudra ce qu’on a d…
all… all… e t… – c… Il n’est pas de Samedi
(Sur son mariage avec M. le duc d… Un prêtre, un oui, trois mots lati… A jamais fixent vos destins ; Et le célébrant d’un village, Dans la chapelle de Montjeu,
L’océan d’argent couvre tout Avec sa marée incrustante. Nous avons rêvé jusqu’au bout Le legs d’un oncle ou d’une tante. Rien ne vient. Notre cerveau bout
À qui vierge me gardera : La richesse. À qui bien parler me fera : La sagesse. À quiconque me violera :
Quand ils vinrent louer deux chamb… Le portier, d’un coup d’œil plein… Comprit tout et conclut : – C’est… Le garçonnet, avec ses yeux intell… Était gai d’être en deuil, car sa…
Les bancs sont prisonniers Des chaînes d’or du mur Prisonniers des jardins où le sole… Près de la forêt vierge De la prairie étale
En faictes vous doubte Que vostre ne soye ? Se Dieu me doint joye Au cueur, si suis toute. Rien ne m’en deboute,
Revêtu de mes yeux jour de pluie ; l’eau coule sur mes cris, inonde mes fondations. J’homicide cette course vide avec un couteau
Depuis l’âge orageux des aurores p… Où tout un ciel pleuvait sur un mo… Suivi d’un infini cortège de riviè… Au large, à plein chenal, en triom… Superbe, délivré des ténèbres sauv…
Depuis bientôt vingt ans, je passe… Mes yeux regardent tout et mon ore… Deux rois ont laissé choir leur co… J’ai vu tout pouvoir vain, toute g… Et la fleur qui bourgeonne à cette…
Homme, qui que tu sois, regarde E… Et comparant ta mère à celle du S… Vois laquelle des deux en est le p… Et du Père Eternel gagne mieux la… L’une à peine respire et la voilà…
Elle est née un joli dimanche de p… Son père qui croyait en Dieu, com… Et sa mère, cœur simple et plein d… Pieusement l’avaient nommée Anne-… Du nom, choisi par eux entre les n…
Aie une âme hautaine et sonore et… Tais-toi, mure ton seuil, car la l… Forge en sceptre l’or lourd et rou… Ferme ton cœur à la rumeur soûle d… Entends parmi le son des flûtes pu…
Ô terre, vil monceau de boue Où germent d’épineuses fleurs, Rendons grâce à Dieu, qui secoue Sur ton sein ses fraîches couleurs… Sans ces urnes où goutte à goutte
Pendant que ce mois renouvelle D’une course perpétuelle La vieillesse et le tour des ans : Pendant que la tendre jeunesse Du ciel remet en allégresse
Avec mes ailes brisées j’évente les miettes d’un univers qui s’écroule. Les paumes de mes mains étendent ma gratitude
(Nouveaux tourments d’amour.) 1671. Me voici rembarqué sur la mer amou… Moi pour qui tant de fois elle fut… Qui ne suis pas encor du naufrage…
Eveillez-vous, échos de la patrie, Retentissez à nos joyeux refrains… Chants exhalés de notre âme attend… Envolez-vous jusqu’à des cieux ser… N’envions plus à quelque autre riv…
Je ressens un vide, un vide immense, un vide qui était plein, un vide qui fait mal, un vide avec lequel il faut vivre. Mais ce vide est coloré, une belle couleur, une couleur qu’on ne p...
J’imagine souvent ta maison ; je t… Usant dans le devoir une âme encor… Je reconnais ton bruit de pas j’en… Tendre et grave donner un ordre à… Ce soir, le jeune avril te gagne à…
Jamais ne se puisse lasser Ma Muse de chanter la gloire D’un Ver petit, dont la mémoire Jamais ne se puisse effacer : D’un Ver petit, d’un Ver luisant,
Le Temps ne surprend pas le sage, Mais du Temps le sage se rit, Car lui seul en connaît l’usage : Des plaisirs que Dieu nous offrit Il sait embellir l’existence,