C est une drôle de vie . J adore les beaux mecs musclés nus… Je me lève et je prépare le café c… Mon copain se branle pour me donne… J adore le jus du mâle crémeux .
Quand la blanche cigogne, à traver… Frappant à larges coups d’air de s… Le col tendu, ses pieds roses pend… Vole vers les climats d’or, d’azur… Emportée à son rêve, et buvant dan…
C’est dans tes bras Que j’ai pu triompher de mes peine… C’est par ton souffle que j’éteign… C’est par la lyre de tes mains dan… Que j’ai appris à écouter le monde…
L’oiseau tête brûlée Qui chantait la nuit Qui réveillait l’enfant Qui perdait ses plumes dans l’encr… L’oiseau pattes de
Dans l’ombre de ce vallon Pointent les formes légères Du Rêve. Entre les bourgeons Et du milieu des fougères Émergent des fronts songeurs
L’Arrhée parle. Ces croupes que fouaille Un vent forcené, Ce sont les Mené De la Cornouaille.
Entre le col de verre et le vin Flotte un nuage Mélange Clair-obscur Lambeaux
Sonnet. En automne, dans la douceur des mo… Quand les heures d’après-midi tiss… Au vestiaire, où les moines, en bl… Rentrent se dévêtir pour aller aux…
Sonnet. Pour elle désormais je veux être s… Si bon, qu’elle se sache aveugléme… Je ne lui dirai plus : « Il faut,… Et je prendrai les torts, lui lais…
Il fait un froid noir et tout gèle… Abreuvoir, écluse et ruisseau. Tous les puits, à l’endroit du sea… Ont de la glace à leur margelle. C’est pourquoi, vite, après la cla…
all… all… e t… – c… Il n’est pas de Samedi
En la forest d’Ennuyeuse Tristess… Un jour m’avint qu’a par moy chemi… Si rencontray l’Amoureuse Deesse Qui m’appella, demandant ou j’aloy… Je respondy que, par Fortune, est…
Au temps où longuement j’avais sou… Où les heures m’étaient des pièges… Tu m’apparus l’accueillante lumièr… Qui luit aux fenêtres, l’hiver, Au fond des soirs, sur de la neige…
Voyez le ciel, la terre et toute l… C’est le livre de Dieu, c’est sa… L’homme le lit sans cesse et ne l’… Splendeur de la virgule, immensité… Comètes et soleils, lettres du feu…
Une monde tellement fou, où rien n… Va gagner ton argent, le perdre pa… Roule sur l’autoroute, et sent le… Regarde toi vivre, quatre roues et… Tant user ton vélo, par goût des b…
À Alfred Barthe. En pays de Saintonge, où nos meil… Sont, comme au champ d’honneur, mo… Sous le fléau terrible, on voit en… Dominant les hauteurs, un vieux mo…
Je connais un charmant ivrogne, Autant vous le nommer, ma foi ! Dire que vous avez la trogne, Ce serait mentir sans vergogne. Pourtant, un soir, écoutez-moi !
C est la poésie café chaud coquin… Tu vois .. il m as donné son jus,… J adore ça .. j aime me lever le… Sous la douche .. il m as pénétré… Tu vois .. il as mis son dard pui…
Près d’une mère une fille chérie Sentait venir le dernier de ses jo… Tout art est vain et c’est en vain… Contre le mal il n’est plus de rec… Tous à la mort ont laissé sa victi…
Loin des oreilles importunes, Le gars mangeant avec le vieux, D’un ton fier et malicieux Lui conte ses bonnes fortunes, De quelle sorte il fait sa cour,
Bois où je voudrais vivre, il faut… Depuis l’aube égayant les moissons… Jusqu’au soleil pâli des vendanges… J’ai voulu contempler la grande œu… Au bois j’ai vu passer, avec ma rê…
(Au nom de Madame de Fontaine-Ma… C’est mercredi que je soupais chez… Et que, sortant des plaisirs de la… Bientôt couchée, un sommeil prompt… Me fit présent d’un songe délectab…
Les bêtes, qui n’ont point de subl… Marchent, dès leur naissance, en f… Et ce rigide pli, jusqu’à la derni… Signe mystérieux de sagesse y deme… Les énormes lions qui rôdent à gra…
Quand je ne te vois pas, le temps… A je ne sais quel poids impossible… Je sens languir mon cœur, qui cher… Et ma tête se penche, et je souffr… Quand ta voix saisissante atteint…
Sur nos pas le profond enfer s’est… Ô compagnon pensif qui m’enseigne… Moins réprouvés que nous, les mort… Blasphèment : « Dieu nous hait, m… Sur l’extrême plateau qu’une aube…
Aujourd’hui De Vinci, je crée la… Cette dernière me suit, dans chaqu… A la perte du ciel, je retombe sou… Que je porte droit et fier, jusqu’… Où j y accroche l étoile, phare de…
Tout est si noir. Submergée par cette maladie mortelle appelée « tourments », la vie n’a que pour but d’être souffrance. Comparable à une nuit sombre d’hiver qui se prolonge même lorsqu...
On venait de sortir de l’église ;… Les hommes se groupaient, lents, l… Entrant au cimetière, aux derniers… Les femmes rabattaient leur grand… Deux vieux—large chapeau, veste co…
Le calvaire. Las d’errer sans guide, Depuis le Roudou, Dans ce matin d’août Brumeux et languide,
Louez la chasteté, la plus grande… Qui fait les yeux divins et la lèv… Et de l’humanité tout entière une… C’est par elle que l’âme à l’âme s… Par elle que le cœur du cœur est é…