#ÉcrivainsFrançais
Les tapis fortement secoués laissaient des signes entre les arbres. On les avait déteints avec les pieds. Sur les quais, avec un regard attendri, les têtes se tournaient, mais les passa...
Rien qui dépasse le niveau de la f… Tous les yeux se tournent vers ce… Il y a derrière le vieux qui fume…
Qui m’a révélé l’endroit précis. Le ciel où les deux murs se joignent. L’angle où l’on est à l’abri ? Par-dessus, le vent emporte la terre qui se déplace. Quelques nids sont tombés et l...
J’ai perdu le secret qu’on m’avait… Je ne sais plus rien faire Un moment j’ai cru que ça pourrait… Plus rien ne tient C’est un homme sans pieds qui voud…
Maintenant c’est le temps présent Plus gris que de coutume Qui mastique la vitre Et étouffe le bruit Les quatre murs paisibles
Sur la crête du toit il y a une armée immobile ou une rangée de cheminées sans armes. En bas, de rares éclaireurs montent la garde et poursuivent de leur falot l’ombre imprécise. Dans l...
La pluie d’or sur la vague Et le trou noir des ailes Au mur le parapet glissant laisse… Au ciel la porte s’ouvre et la cla… C’est le jour
Je ne peux pas me rappeler d’où me vient ce mal. Quelques mots de plus, quelques mots de plus que j’entends encore. Il avait une triste figure. Quand il eut parlé j’avais aussi une tris...
Il marchait sur un pied sans savoir où il poserait l’autre. Au tournant de la rue le vent balayait la poussière et sa bouche avide engouffrait tout l’espace. Il se mit à courir espérant...
Les rideaux déchirés se balancent C’est le vent qui joue Il court sur la main entre par la… Ressort et s’en va mourir n’import… Le vent lugubre et fort emporte to…
L " air nous est remis les amis baibares le refrain chois… Les vieilles promesses la terre végétale et le paradis L’heure s’ouvre au signal
S’il se soulève quand je passerai près de lui ; s’il pleure quand viendra la nuit, s’il ne crie pas ? J’aurai cru le voir et ce sera fini. Plusieurs heures de chemin dans un sentier où ...
A présent la ruelle est refermée par la lettre majeure de l’enseigne que le vent rabattait sans cesse contre l’arbre du coin de la forêt à vendre. Le vent en tourbillons aigris garnit l...
La moitié de tout ce qu’on pouvait… Il y avait des danseurs près des p… Tout le monde dormait. D’une masse d’arbres dont on ne di… L’air se tenait tout entier.
Plus loin le verre blanc cassa Les yeux au plafond se levèrent Sur le ciel d’aujourd’hui Un soleil faux qui luit Un rayon dans la glace