« Madame et souveraine, Que mon cœur a de peine... » Ainsi disait un enfant chérubin : « Madame et souveraine, Que mon cœur a de peine... »
Depuis longtemps, je voudrais fair… Son portrait, en pied, suis-moi bi… Quand elle prend son air sévère, Elle ne bouge et ne dit rien. Ne croyez pas qu’Elle ne rie
À M. A. de V***. Arrêtons-nous sur la colline A l’heure où, partageant les jours… L’astre du matin qui décline Semble précipiter son cours !
Ces premiers froids que l’on récha… —Et des platanes d’or le long gémi… —Et l’alcôve au lit noir qui datai… Où ton corps, au hasard de l’ombre… S’illuminait parfois d’un rouge éc…
bon batteur de silex jeteur à tout… brise-hache comme nul arbre dans l… quatre mots de soleil blanc quatre mots de ceiba rouge quatre mots de serpent corail
Victorieusement fui le suicide bea… Tison de gloire, sang par écume, o… Ô rire si là-bas une pourpre s’app… À ne tendre royal que mon absent t… Quoi ! de tout cet éclat pas même…
Ne leur en veuillons pas : Nos pauvres amoureuses Suivent à petits pas Des routes plus heureuses. Paris ne leur vaut rien :
Or, tu n’es pas vaincu, sinon par… Oppose au siècle un front de coura… Bande ton coeur moins faible au fo… Ne cherche, en fait d’abri, que l’… Ceins, sinon l’innocence, hélas !…
La femme, l’enfant, la soupe En chemin pour le carrier Le complimentent qu’il coupe Dans l’us de se marier.
Je suis allé chez le le bottier, Je lui ai dis de faire des chaussu… J’ai mis mes nouvelles chaussures, Mes pieds étaient trop grands, Cela a fait des trous dans mes nou…
Voilà le banc rustique où s’asseya… La salle où résonnait sa voix mâle… Quand les pasteurs assis sur leurs… Lui comptaient les sillons par cha… Ou qu’encor palpitant des scènes d…
Fable IV, Livre I. Sans ami, comme sans famille, Ici bas vivre en étranger ; Se retirer dans sa coquille Au signal du moindre danger ;
C’est fou de penser que j’ai connu… Des histoires passionnées, des émo… Mais jamais je n’ai pu poser mes y… Lui, l’homme discret, que je consi… Ça a été toujours lui, le meilleur…
Où appeler à l’aide, personne ne v… Rend toi donc en enfer, ça ne se v… Va donc brûler des terres, sers to… Seront dans mon assiette, tes doig… Je relèverai la tête, tu seras au…
Abîme A quoi bon se trouver, dans l’océa… Pourquoi chercher à être, dans l’i… Ne pas se séparer, vivre le rassem… Au loin une lumière, m’attire en u…
Quand la marquise était avec le ro… Avant l’invention d’Esther par Ma… Afin que chez Vasti Sa Majesté r… Il fallait mieux qu’un prince et p… Il fallait, pour conduire Alcandr…
Le miel sucré de vostre grâce, Le bel astre de vostre face Meurtrière de tant de cueurs Ne sorte de ma souvenance ; Mais où prendray-je l’espérance
IDYLLE. Maintenant sous le ciel tout re… Lamartine Sur l’herbe du verger, au pied de… Le jeune homme est assis près de l…
« Voulez-vous de la mer connaître… Disait-il ; voulez-vous contempler… Que le poète ému cherche d’un pas… Partez un jour, gagnez les côtes d… Sur la grève en talus que le flot…
Ta bouche était la coupe ardente o… Tes yeux étaient mon ciel, bleu co… Ivre, j’avais laissé l’espérance c… Passer avec l’amour sur la route o… Étant un amoureux, est-ce que je s…
Fable XIII, Livre III. L’autre hiver, des badauds attroup… S’extasiaient devant une statue : C’était la reine de Paphos, Chef-d’œuvre qu’un artiste échappé…
Quand dans cet atroce enfer j’entr… Mais que de loin je t’aperçois, Sur ta beauté je me concentre, Plus brillante splendeur qui soit, J’ai des papillons dans le ventre.
Sonnet. Le Phédon jette en l’âme un céles… Mais rien n’est plus suave au cœur… Délicat embaumeur de la raison fra… Il sent la myrrhe, il coule aussi…
Quand la terre engloutit les cités… Que le vent sème au loin un poison… Quand l’ouragan mugit, quand des m… C’est le réveil du Dieu vengeur. Et si, lassant enfin les clémences…
Stances pour M. le duc de Montpen… qui demandait en mariage Madame C… La princesse de Navarre, sœur d’H… 1591 ou 1592. Beau ciel, par qui mes jours sont…
Quand je vois des vivants la multi… Sur ce globe mauvais de fléaux inf… Parfois je m’abandonne à des pense… Et j’ose prononcer un vœu de chast… Du plus aveugle instinct je me veu…
xx… Mille étés et mille hivers Passeront sur l’univers, Sans que du poète-dieu Li-taï-pé meurent les vers,
Bercés d’un fol espoir, nous aimio… Le cœur ému d’amour aux accords de… Pour nous seront ses chants, Au pays bien-aimé seront les fleur… Mais Christ le conviait aux hymne…
De jeunes écoliers avaient pris da… Un hibou, Et l’avaient élevé dans la cour du… Un vieux chat, un jeune oison, Nourris par le portier, étaient en…
Amour qui voles dans les nues, Baisers blancs, fuyant sur l’azur, Et qui palpites dans les mues, Au nid sourd des forêts émues ; Qui cours aux fentes des vieux mur…
Solitude ! silence ! oh ! le déser… L’âme s’apaise là, sévèrement cont… Là d’on ne sait quelle ombre on se… Je vais dans les forêts chercher l… La sauvage épaisseur des branches…
Non, je ne l’aime point cette carc… Qu’on ne m’en parle plus, quoi qu’… J’aime autant embrasser l’image d’… Ou me laisser tomber tout nu dans… Dès la première nuit de nos embras…
C est le journal Lacheteau . C est un article sur la colonne di… Le prince Enée .. qui avait voya… Est venu se reposer dans l immense… C était la loi des épées et des be…
Eh quoi ! prier déjà.... tu bégaye… De la vie, ici-bas, tu n’as vu que… Pour loi, le beau printemps n’est… À peine connaît-on le doux son de… Et cependant, docile aux leçons d’…
Sur mes vingt ans, pur d’offense e… Guidé, mal-caut, d’un trop aveugle… Ayant encore le menton damoiseau, Sain et gaillard je vins à ton ser… Mais, ô cruelle, outré de ta malic…
C est la rubrique de Summer . C est un article sur le journal M… Le gars vient de perdre quelques d… Entre la lourde et le pavé . Le requiem du café noir sur le cha…
Soldat qui te repeins les images a… Et d’avance te vois, un jour sangl… Débordant, le premier, sabre au po… Où pivote un remous formidable d’a… –Peut-être mourras-tu d’un obscur…
Lorsque je vais m’asseoir à mon ba… Qu’il est tard, qu’il fait doux, q… Mon petit chien me garde avec soll… Tous les songes aimés dont mon cœu… Reviennent à la fois peupler ma so…
Horace avait la queue entre les ja… Quand .. il voyait les beaux garç… Un petit verre de vin .. et sous… Le gland crémeux dans la bouche . La chambre .. c est le paradis de…
Morte ! oh ! serait-il vrai ? mort… À son calme avenir quel mal l’a do… Qui donc l’a pu frapper avant qu’e… Dans la fraîche candeur de ses pre… Quand elle n’était pas au tiers de…
Bonjour, c’est le poéticours . C’est aujourd’hui .. la fête des… Tu vois, c’est le furet .. qui co… Le long des trois rivières . C’est le poète .. soixante DIX…
La spirale sans fin dans le vide s… Tout autour, n’attendant qu’une fa… Pour vous pomper le sang, Sur leurs grands piédestaux semés… Des sphinx aux seins pointus, aux…
Au vent frais du matin frissonne l… Une vapeur légère aux flancs de la… Flotte ; et dans les taillis d’arb… Brillent, encore intacts, de longs… Près d’une onde ridée aux brises m…
Amitié désolée Parmi tous ces amis autour de moi, Qui me sont agréables quand je les… Je me rend compte, en étant seul e… De ces différences fragilisant cet…
C est la poésie des amis . J adore dormir nu sur le lit . Paulo aime me baisé . Le gland bien monté . Aussi sous la douche .
Tous ces maux Les journées étaient lentes, Tu avais une âme très patiente, Les heures défilaient et les pleur… Ces larmes coulaient avec ta mélan…
Mon vers, s’il faut te le redire, On veut te griser dans les bois. Les faunes ont caché ta lyre Et mis à sa place un hautbois. Va donc. La fête est commencée ;
L’aurore désirée, ô filles de Byb… A déployé les plis de son riche pé… Ses yeux étincelants versent des p… Sur la pente des monts et les moll… Et, dans l’azur céleste où sont as…
Sur la route en revenant des somme… les corbeaux et les châtaignes Salué la jalousie et la pâle flatt… Le désastre enfin le désastre anno… Pourquoi pâlir pourquoi frémir ?
C’est le même sentier qui longe la… L’yeuse encore y pousse et la fraî… Et l’air qu’on y respire aux lisiè… Brille aussi transparent, aussi pu… Autrefois !... mot pétri d’amertum…
C est l œuvre du gaypard . L homme adore se soulagé . Se décharger .. se vider les coui… Dans le corps musclé des copains… J adore la sauce gourmande .
Contrerime II. Toi qu’empourprait l’âtre d’hiver Comme une rouge nue Où déjà te dessinait nue L’arôme de ta chair ;
C est la rubrique d aujourd’hui . Les mots sur le cours de la page… La Loire .. le bateleur conduit l… Le monarque dans le palais du baro… C est le récit de la Cybelle de l…
Femme, sitôt que ton regard Eut transpercé mon existence, J’ai renié vingt espérances, J’ai brisé, d’un geste hagard, Mes dieux, mes amitiés anciennes,
VOLUPTÉ Déjeuner de soleil Je me meurs Salive Sommeil Sonnez Matines Masque à chloroforme Amour je roule de tout mon long
Viens, charmante saison, jeunesse… Viens animer encore le luth des T… Des fleurs que tu fais naître acco… Elles seront le prix de nos chanso… Voici venir le jour où la Reine d…
Nous sommes ce que nous sommes, un… Notre vie commence là, où part la… Impose-toi ton modèle, modèle schi… Libre d’être qui nous sommes, vole… Ça dans la société, construire la…
Sonnet. Un oiseau solitaire aux bizarres c… Est venu se poser sur une enfant ;… Arrachant son plumage où le prisme… De toute sa parure elle fait des d…
Tu t’es approchée près de moi Et j’ai marché dans tes doux pas, M’entraînant vers ces lieues, là-b… Où je te dévoilais à toi, Une nouvelle sensation
Seigneur, Seigneur ! Se peut-il q… Quittez enfin cette étroite demeur… Venez à nous ! Christ, Fils de Dieu, né du sein… Qu’attend le ciel, que la terre ré…