Les siècles sont au peuple ; eux,… Ils en usent. Ô lutte étrange ! A… Chacun à grand bruit coupe une bra… Là, des éclats d’airain, là, des é… La colonne romaine ainsi que l’arc…
Des sabres sont partout posés sur… L’autel ment. On entend ceux qu’o… Jurer, d’un front tranquille et sa… De faux serpents qui font, tant il… Tant ils sont monstrueux, effroyab…
II neige sur le mont Blanc Et une grosse cloche sonne dedans Jusqu’en bas une procession de gen… Les cœurs brûlent à feu couvert
Fable XII, Livre II. Un jeune enfant n’avait pas remarq… Certain Frelon qui pillait un par… Comme un auteur surpris par le fol… Au milieu de ses jeux, zeste, il s…
Être riche n’est pas l’affaire ; Toute l’affaire est de charmer ; Du palais du grenier diffère En ce qu’on y sait mieux aimer. L’aube au seuil, un grabat dans l’…
Dans l’alcôve sombre, Près d’un humble autel, L’enfant dort à l’ombre Du lit maternel. Tandis qu’il repose,
La lune est rouge au brumeux horiz… Dans un brouillard qui danse, la p… S’endort fumeuse, et la grenouille… Par les joncs verts où circule un… Les fleurs des eaux referment leur…
Poissons amis aimés Amante de ceux qui furent pêches e… quantité Vous avez assisté à cette calamité A cette chose horrible
Si, comme aux vents désignés par l… Il est un sens à l’espace et au te… S’ils en ont un ils en ont mille e… Et tout autant s’ils n’en possèden… Or qui de nous n’imagine ou presse…
Un jour, dans les petites montagnes des Alpes-Maritimes, du côté d’Entrevaux je crois, Robert Dois-neau « en reportage » accompagnait un berger, ses moutons et ses chiens, lorsqu’un ca...
La maison du pêcheur, qui près du… Entre ses murs étroits nous avait… C’était l’heure du soir, l’heure p… La mer, sous une brise, arrivait à… En doux et larges plis.
David, le marbre est saint, le bro… Sous le bois, où grandit le tilleu… Où le chêne tressaille, où les ger… Comme une bouche ouverts, boivent… Sous le fleuve moiré qui, roulant…
La– vie est simple et gaie Le soleil clair tinte avec un brui… Le son des cloches s’est calmé Ce matin la lumière traverse tout Ma tête est une rampe allumée
PAUVRE femme ! son lait à sa tê… Et, dans ses froids salons, le mon… Parmi les vains propos que chaque… Hier, qu’elle était folle, aujourd… Et, seul au champ des morts, je fo…
Mère des jeux latins et des volupt… Lesbos, où les baisers, languissan… Chauds comme les soleils, frais co… Font l’ornement des nuits et des j… Mère des jeux latins et des volupt…
Ce petit bonhomme bleu Qu’un souffle apporte et remporte, Qui, dès que tu dors un peu, Gratte de l’ongle à ta porte, C’est mon rêve. Plein d’effroi,
C’est la poésie du gland . C’est 17 centimètres sans poils . Tu vois l ami .. il faut secouer… Entre les trois doigts . Tu vois .. il faut bien le mastur…
Sur des livres où rien n’était écr… Quatre hommes méditaient quand mou… Tournés au nord, au sud, au coucha… Ces hommes se nommaient Luc, Jean… Pendant que sur leur noir registre
Et la Mère, fermant le livre du d… S’en allait satisfaite et très fiè… Dans les yeux bleus et sous le fro… L’âme de son enfant livrée aux rép… Tout le jour il suait d’obéissance…
J’ai vu ton ami, j’ai vu ton amie… Mérante et Rosa ; vous n’étiez po… Fils, ils ont produit une épidémie De baisers parmi les nids de mon b… Ils étaient contents, le diable m’…
clameurs clameurs moi qui n’eus jamais de gorge qu’à… de gros bourgs vinrent paître dans… clameurs clameurs hétéroclite d’odeurs obséquieuses…
Le désespoir n’a pas d’ailes, L’amour non plus, Pas de visage, Ne parlent pas, Je ne bouge pas,
Je suis triste quand je vois l’hom… Le vrai décroît dans les esprits. L’ombre qui jadis noya Rome Commence à submerger Paris. Les rois sournois, de peur des cri…
Fauve avec des tons d’écarlate, Une aurore de fin d’été Tempétueusement éclate A l’horizon ensanglanté. La nuit rêveuse, bleue et bonne
L’hiver est sorti de sa tombe, Son linceul blanchit le vallon ; Le dernier feuillage qui tombe Est balayé par l’aquilon. Nichés dans le tronc d’un vieux sa…
L’horrible nuit d’insomnie ! —Sans la présence bénie De ton cher corps près de moi, Sans ta bouche tant baisée Encore que trop rusée
Ô femme, pensée aimante Et coeur souffrant, Vous trouvez la fleur charmante Et l’oiseau grand ; Vous enviez la pelouse
C’est un trou de verdure où chante… Accrochant follement aux herbes de… D’argent ; où le soleil, de la mon… Luit : c’est un petit val qui mous… Un soldat jeune, bouche ouverte, t…
Vous dormez sur vos deux oreilles Comme on dit Moi je me promène et je veille dan… Je vois des ombres j’entends des c… Drôles de cris
c’est le minuit passé dressant son torse nu au-dessus des beffrois et des peupliers j’appelle à moi ceux-là perdus dans les campagnes les vieux cadavres les jeunes chênes coupés les lam...
Je suis venu, calme orphelin, Riche de mes seuls yeux tranquille… Vers les hommes des grandes villes… Ils ne m’ont pas trouvé malin. À vingt ans un trouble nouveau
C’est le texte court .. le muscle… Le sport .. le corps nu en sueur… Le copain adore la saucisse juteus… Les jeux séculaires .. l affaire… Classée .. qui resteras dans les…
Tu commences par me louer, Tu veux finir par me connaître. Tu me louras bien moins ; mais il… Ce que je suis, ce que je voudrais… J’aurai vu dans trois ans passer q…
Nos repas sont charmants encore qu… Grâce à ton art profond d’accommod… Du rôti d’hier ou de ce récent pot… En hachis et ragoûts comme on n’en… Le vin n’a pas ce nom, car à quoi…
Ô Cloître Saint-Merry funèbre ! s… Je ne foule jamais votre morne pav… Sans frissonner devant les affres… Toujours ton mur en vain recrépit… Ô maison Transnonain, coin maudit,…
Quelle grandeur rend l’homme vénér… Quelle grosseur ? quel poil ? quel… Qui est des yeux le plus emmielleu… Qui fait plus tôt une plaie incura… Quel chant est plus à l’homme conv…
N’ai-je pas pour toi, belle juive, Assez dépeuplé mon sérail ? Souffre qu’enfin le reste vive. Faut-il qu’un coup de hache suive Chaque coup de ton éventail ?
« M.… Napoléon le Petit, et qui renferm… On raconte qu’un des jours de la s… Saint-Cloud. Lorsque Louis-Napol… du mépris sur les lèvres, puis s’a…
A chaque kilomètre chaque année des vieillards au front borné indi…
L’autel bas s’orne de hautes mauve… La chasuble blanche est toute en f… A travers les pâles vitraux jaunes Le soleil se répand comme un fleuv… On chante au graduel : Fi-li-a !
L’espace est noir, l’onde est somb… Là-bas, sur le gouffre obscur, Brillent le phare dans l’ombre Et l’étoile dans l’azur. La nuit pose, pour la voile
(À Villiers de l’Isle-Adam) Dans un palais, soie et or, dans… De beaux démons, des satans adoles… Au son d’une musique mahométane, Font litière aux Sept Péchés de l…
La Roue La roue est la plus belle il y a le soleil qui tourne il y a la terre qui tourne il y a ton visage qui tourne sur l…
L’autre soir j’ai rencontré Un séduisant jeune homme Et nous avons folâtré Et dégusté la pomme Dans le ht que j’étais bien !
L’heure de ma mort, depuis dix-hui… De tous les côtés sonne à mes orei… Depuis dix-huit mois d’ennuis et d… Partout je la sens, partout je la… Plus je me débats contre ma misère…
L’araignée à moustaches n’est pas Napoléon III Qui s’ennuie quand il a froid.
La misère et le mauvais œil, Soit dit sans le calomnier, Ont fait à ce monstre d’orgueil Une âme de vieux prisonnier. Oui, jettatore, oui, le dernier
Anna vous m’aimez bien et je vous… Que de choses nous éloignent en ap… Mais si les jeunes gens savaient q… Pour dépolir entre nous la transpa… On vous a tout ôté ; à moi aussi,
il n’est pas question de livrer le… la vie-mort la mort-vie les souffleteurs de cr… été de nuit escamotés pour le rest… des chevaux qui n’ont laissé sur l…
Dans mon verre que fais-tu petite… Girafe à vin Girafe à brise Girafe à saveur de lait et de feui… Dans quel désert es-tu perdue ?
L’hirondelle au printemps cherche… Débris où n’est plus l’homme, où l… La fauvette en avril cherche, ô ma… La forêt sombre et fraîche et l’ép… La mousse, et, dans les noeuds des…
Ô cadavres, parlez ! quels sont vo… Quelles mains ont plongé ces style… Toi d’abord, que je vois dans cett… Ton nom ?—Religion.—Ton meurtrier… —Vous, vos noms ?—Probité, pudeur…
Rougissante et tête baissée, Je la vois me sourire encor. —Pour le doigt de ma fiancée Qu’on me fasse un bel anneau d’or. Elle part, mais bonne et fidèle ;
Sonnet. Toutes, portant l’amphore, une mai… Théano, Callidie, Amymone, Agavé… Esclaves d’un labeur sans cesse in… Courent du puits à l’urne où l’eau…
Sous le soc de ton doux regard d’a… mon oœur a remué et dans cette terre labourée la fleur de l’adieu s’est mise à c… Aujourd’hui
Je vous prends à témoin entre tous… Vous qui m’avez connu dès l’extrêm… Que je fus digne d’elle, à Dieu s… Sans criard désespoir ni jactance… Simple dans mon mépris pour des re…
Guerrière, militaire et virile en… La sainte Chasteté que Dieu voit… De toutes les vertus marchant dans… Après la Charité distante presque… Va d’un pas assuré mieux qu’aucune…
Au gibet noir, manchot aimable, Dansent, dansent les paladins, Les maigres paladins du diable, Les squelettes de Saladins. Messire Belzébuth tire par la cra…
Pourquoi t’exiler, ô poète, Dans la foule où nous te voyons ? Que sont pour ton âme inquiète Les partis, chaos sans rayons ? Dans leur atmosphère souillée
De la douceur, de la douceur, de l… Calme un peu ces transports fébril… Même au fort du déduit, parfois, v… Doit avoir l’abandon paisible de l… Sois langoureuse, fais ta caresse…