Je n’eus jamais d’indifférence Pour la gloire du nom français. L’étranger envahit la France, Et je maudis tous ses succès. Mais, bien que la douleur honore,
Dans le repli d’une anse fraîche Où tremble le moelleux reflet D’un clair ciel rose et violet, Sommeille le bateau de pêche. Sur l’eau qui s’est agatisée,
La vie est belle Les jours se pressent, se suivent… Ils m’entraînent dans une course q… Mais je peux décider d’arrêter de… De voir combien la vie est belle à…
¿ Por qué confié en vos ? te abrí mi alma te abrí mi corazon te deje pasar deje que vivieras en mi
Souvent, lorsque la main sur les y… Elle m’apparaît, svelte & ; la… Avec ses blonds cheveux coupés cou… Trouverai-je jamais des mots qui l… La chère vision que malgré moi j’a…
Pourquoi vous asservir au ridicule… De ces mots sans pensée idiome moq… Qui, comme une beauté qui farde so… Eblouit un instant, et n’émeut pas… Laissez tout ce clinquant à de pet…
Il est un arbre fier, droit, austè… Que n’aime pas l’oiseau, ni la fle… Ni la vigne flexible aux rameaux c… Floréal le dédaigne & brumaire l’o… Et jamais on ne voit que la tempêt…
Au versant d’un coteau, par-dessus… Tout le champ apparaît, et l’on ne… Tant les cyprès (dont bien des bas… Sont charmants, tant la joie éclat… Que ce soit là le sol où les morts…
C est les jours heureux . Dans la vallée .. vivre à deux . Dans la belle banlieue . C est l histoire du moulin bleu . C est ma muse Lucie .. ma gazell…
Au fond de mes textes .. les récit… J ai laissé le café, refroidit . Entre Baudelaire et Verlaine . Et Conan .. le guerrier de la pl… Écrit moi .. le nom de la chose .
Del puente de Solferino hasta el quai de la Tournelle, ¡ cuantas veces he pasado en busca de algo que leer ! He recorrido los puestos
Depuis que sous les cieux un doux… Ma jeunesse en sa fleur, ouverte a… Si mon cœur a rêvé, si mon cœur rê… Le choix irrévocable et l’éternel… C’est qu’aux jours périlleux, touj…
Adieu, chère amie ! Quelle dure étape que la séparatio… C’est comme si l’on nous arrachait… Ce soir c’est une fin tragique de… Un pas difficile après des jours p…
Linotte Qui frigotte, Dis, que veux-tu de moi ? Ta note, Qui tremblote,
La goutte d’eau de l’Habitude Corrode notre liberté Et met sur notre volonté La rouille de la servitude. Elle infiltre une quiétude
La musique réjouit le cœur des humains, dans un climat d’euphorie, c’est une détente salutaire pour les malades dépressifs. Un être humain entendant une berceuse de son enfance, cela lu...
Profond désespoir Après ces moments dont j’ai tant p… Il me semble qu’un mélancolie soit… Après ces joies qui m’étaient plei… C’est de tristes sentiments qui vi…
Ce soir, ta chair malade a des lan… Entre tes doigts fiévreux meurent… Ce soir, l’orage couve, et l’odeur… Fait pâlir par instants tes lèvres… Les yeux plongeant au fond des cam…
Un trou noir où le vent se rue Tout tourne en rond La fenêtre s’éloigne de la glace d… — Le vin n’y est pour rien
Assis au bord de Seine, j’vois s’… Attendant ma superbe, tout ça en p… Pour ce moment de rêve, j’attendra… Regarde moi sourire, n’attendant q… C’est l’espoir qui fait vivre, ape…
Viens au soleil, mon doux ami : co… Efface de tes yeux la lune acariât… Il fallait que la foudre incendiât… Et que le vent soufflât sur l’atre… Les clos d’Alésia ne sont-ils plu…
La guitare amoureuse et l’ardente… Pleurent de volupté, de langueur e… Sous l’arbre où le soleil dore l’h… Et devant le mur bas et chaud de l… Semblables à des fleurs qui trembl…
De grands brouillards couleur de s… Chassés par un vent sans pareil, Passent à plein vol : neige et plu… Tombent, brillantes de soleil. Sur les toits, globule à globule,
Malgré la voix de la sagesse, Je voudrais amasser de l’or : Soudain aux pieds de ma maîtresse J’irais déposer mon trésor. Adèle, à ton moindre caprice
Qu’un jeune amour plein de mystère Pardonne à la vieille amitié D’avoir troublé son sanctuaire. D’une belle âme qui m’est chère Si j’ai jamais eu la moitié,
Maîtresse de la haute Éryx, toi qu… Dans Golgos, sous les myrtes vert… Ô blanche Aphrodita, charme de l’u… Dionaiade aux belles joues ! Après douze longs mois Adonis t’e…
Le cœur de l’homme Petit garçon frêle et sensible, Pour toi le bonheur parait impossi… Ici et là tu viens tu passes, Jamais l’on ne voit que ton cœur s…
Le miroir est un junkyard où peu regardent, Tout peut arriver mais rien ne change. Tatjna dans sa réflexion
Dût la guerre mortelle et sacrilèg… Broyer notre pays de combats en co… Jamais, sous le soleil, une âme n’… Ceux qui sont morts pour le monde,… A Liége.
Fantastiques d’aspect sous leur no… Mais, très humaines par leurs caq[… Les commères, barrant la route aux… À la messe s’en vont d’un gros pas… « Tiens ! v’là l’pèr’ Pierr’! fai…