C’est le grand jour des mascarades… Le bon public prend ses ébats, Et partout sur nos promenades Il fait cortège au mardi gras. Au froid, sur la dalle fangeuse,
Quand je te voy seule assise à par… Toute amusée avecques ta pensée, Un peu la teste encontre bas baiss… Te retirant du vulgaire et de moy… Je veux souvent pour rompre ton es…
Je crois revoir encore la couche d… Où mon père mourut vieillard aux c… Au front large et ridé, symbole de… Aux yeux étincelants. Comme un bûcher fumant, dont on ét…
À Georges Lafenestre. LE PEINTRE. À quoi donc penses-tu, mon pauvre… D’une rêveuse main tenant ton ébau… Reviens-tu de pétrir un masque mor…
Il pleuvasse avec du tonnerre... Il est déjà tard... quand on voit Dans le bourg entrer le convoi De la défunte octogénaire. La clarté du jour s’est enfuie.
Un monde révolté Je suis né dans un monde révolté, Celui où règne un terrible péché, Tant d’inconscients t’oppriment, t… Et d’autres persécutent les bienhe…
« Jeune imprudent, ne brave pas l’… L’indépendance est un mot oublié ! Courbe ton front ! » me disait un… Qu’au char des grands la crainte a… « Que le bandeau qui couvre nos mi…
Assassin Il tua son seul sang, d’une volée… Attrapé en traîtrise, d’une envolé… Ses yeux autour du monde, à sentir… L’argent n’est pas maître, d’une p…
Dans sa grande jatte de grès, L’Angélique, la belle veuve, Avec sa crème toute neuve Fabrique un peu de beurre frais. Ses doigts et sa batte à loisir
Quoi ? toujours il me manquera Quelqu’un de ce peuple imbécile ! Toujours le Loup m’en gobera ! J’aurai beau les compter : ils éta… Et m’ont laissé ravir notre pauvre…
Toujours des mots !—Je veux les c… Toujours des faits !—Je veux les… Toujours les corps !—Je veux l’es… Toujours l’esprit !—Montrez-moi l… L’âme qui pleure ou l’âme qui sour…
Que ces vallons déserts, que ces v… Où j’allais promener mes tristes r… Que ces rivages frais, que ces boi… Que tout prenne une voix et retrou… Et porte jusqu’au sein de Ta Tout…
Ô Mort, j’ai connu la souffrance De sentir le vide et le noir Arracher d’un seul coup de gueule… Alors dans la ville j’errai, Me demandant pourquoi le bruit et…
Chaque seconde est un diamant, que… S agiter pour le combler, creuse l… Le stress est un aimant, ce vice q… Un océan de fierté, l’envol de l’i… Croise à nouveau le ciel, recherch…
Ces mains que tu regardes. . . Sais-tu ? Si elles pouvaient te dire la vie qu’elles ont vécue... Elles ont déposé sur la table les assiettes, les verres, le pain, les couverts, l’eau de...
Hier soir, sous la belle chandelle… Je viens d enlever la nuisette de… Je frôle la chair .. ta peau nacré… Les gros seins .. j adore les car… Et sucer les tétons durcis .
Je suis pétrifié par ton corps de… Là, chaque fois que tu passes près… Ta divine beauté me laisse sans vo… Tant elle m’éblouit, m’enflamme sa… A travers tes yeux d’émeraudes je…
Ne rêves-tu jamais à ces heures d’… Qui précèdent l’hymen de deux jeun… Quand l’amour, de leur cœur, comme… Déborde en sentiments mystérieux e… Dis, n’est-ce rien pour toi qu’une…
Maîtresse de la haute Éryx, toi qu… Dans Golgos, sous les myrtes vert… Ô blanche Aphrodita, charme de l’u… Dionaiade aux belles joues ! Après douze longs mois Adonis t’e…
(Madam… Dieu ne plaise, Olympe, que je gr… Dessus ton corps comme un audacieu… Ne fut-ce pas dessus le mont Olym… Que les Titans firent la guerre a…
A sa naissance Flore a fait naître aussi les fleu… Le printemps doit son influence, A sa naissance. A ta naissance,
Mon cœur dans le silence a soudain… Comme une onde que trouble une bri… Puis la paix des beaux soirs douce… Et c’est un calme ciel qu’à présen… En tendant vers tes yeux mon désir…
Vision des oubliés, tous partis po… Qu ils y retrouvent l ennui, un te… Balbutiant aux portiques, accueill… Oublions ces repas, plein de fêtar… Redonne lui sa jupe, nous ne seron…
Quand je vois des vivants la multi… Sur ce globe mauvais de fléaux inf… Parfois je m’abandonne à des pense… Et j’ose prononcer un vœu de chast… Du plus aveugle instinct je me veu…
Pas d’éperon ni de cravache, N’est-ce pas, Maîtresse à poil gr… C’est bon à pousser une vache, Pas une petite Souris. Pas de mors à ta pauvre bouche :
Tenez ! fit le soulard à bonnet de… Allumant ses yeux ronds dans sa fi… J’ai connu plus buveur que moi. V… De celui qu’on app’lait l’maître i… « Puisque ma femme est mort’, moi…
Elle est bâtie en terre, et la sau… Orne un faite croulant ; toiture m… Il en sort, le matin, une lente fu… (Voyez) belle au soleil, blanche e… Le clair ruisseau des monts coule…
Comme un dernier remous sur une bl… Que les flots refoulés ne peuvent… Sur la nuque que mord le souffle d… Un frisson de cheveux trace son cl… Frisson d’écume d’or, si vivante q…
J’ai fait ce rêve. J’étais mort. Une voix dit :—Ton âme impie, En un très-misérable fort, Va revivre afin qu’elle expie. Dans le bois qu’octobre jaunit
Par monts, par vaux, près des rivi… Les frimas font à volonté Des blocs d’ombre et d’humidité Avec le gisement des pierres. Sous le vert froid des houx, des l…