"Les châtiments (1853)" Jersey, le 1er mars 1853.
#ÉcrivainsFrançais
Ce bonhomme avait les yeux mornes Et, sur son front, chargé d’ennui, L’incorrection de deux cornes Tout à fait visibles chez lui. Ses vagues prunelles bourrues
Je me disais :—Cet homme est-il u… Ne faut-il pas le plaindre ? Est-… Il ne comprend donc pas ? Est-ce… Un bègue ? Un sourd ? D’où vient… Méconnaît tout génie et toute gloi…
Elle prend un miroir, s’y regarde,… Son flambeau, et tombe à genoux au… Oh ! je suis monstrueuse et les au… Cette bosse ! ô mon Dieu !... Elle cache son visage dans ses mai…
Qu’il erre sans repos, courbé dès… En des sables sans borne où le sol… Sitôt qu’il aura lui ! Comme un noir meurtrier qui fuit d… S’il marche, que sans cesse il ent…
Cette nuit, il pleuvait, la marée… Un brouillard lourd et gris couvra… Les brisants aboyaient comme des c… Aux pleurs du ciel profond joignai… L’infini secouait et mêlait dans s…
Les mères ont senti tressaillir le… Les lourds caissons chargés de boî… Courent, et l’on dirait qu’ils bon… Le peuple de Paris, pensif, les s… Et s’en va par les quais vers les…
Vous qui pleurez, venez à ce Dieu… Vous qui souffrez, venez à lui, ca… Vous qui tremblez, venez à lui, ca… Vous qui passez, venez à lui, car…
Mon frère, la tempête a donc été b… Le vent impétueux qui souffle et n… De récif en récif. A donc, quand vous partiez, d’une… Creusé le vaste abîme et boulevers…
Don Rodrigue est à la chasse. Sans épée et sans cuirasse, Un jour d’été, vers midi, Sous la feuillée et sur l’herbe Il s’assied, l’homme superbe,
Les turcs ont passé là. Tout est… Chio, l’île des vins, n’est plus q… Chio, qu’ombrageaient les charmill… Chio, qui dans les flots reflétait… Ses coteaux, ses palais, et le soi…
L’aube naît, et ta porte est close… Ma belle, pourquoi sommeiller ? À l’heure où s’éveille la rose Ne vas-tu pas te réveiller ? Ô ma charmante,
Ô cadavres, parlez ! quels sont vo… Quelles mains ont plongé ces style… Toi d’abord, que je vois dans cett… Ton nom ?—Religion.—Ton meurtrier… —Vous, vos noms ?—Probité, pudeur…
Un vase, flanqué d’un masque, En faïence de Courtrai, Vieille floraison fantasque Où j’ai mis un rosier vrai, Sur ma fenêtre grimace,
Dans le frais clair-obscur du soir… L’une pareille au cygne et l’autre… Belle, et toutes deux joyeuses, ô… Voyez, la grande soeur et la petit… Sont assises au seuil du jardin, e…
Elle me dit, un soir, en souriant… —Ami, pourquoi contemplez—vous san… Le jour qui fuit, ou l’ombre qui s… Ou l’astre d’or qui monte à l’orie… Que font vos yeux là-haut ? je les…