"Les contemplations (1856)" Mars 1842.
#ÉcrivainsFrançais
Dans le frais clair-obscur du soir… L’une pareille au cygne et l’autre… Belle, et toutes deux joyeuses, ô… Voyez, la grande soeur et la petit… Sont assises au seuil du jardin, e…
Prends garde à Marchangy. La pros… Est une ornière où geint le vieux… Tout autant que le vers, certes, l… À la juste cadence, au rhythme div… Pourvu que, sans singer le mètre,…
Le bal champêtre est sous la tente… On prend en vain des airs moqueurs… Toute une musique flottante Passe des oreilles aux coeurs. On entre, on fait cette débauche
Maintenant, largesse au prétoire ! Trinquez, soldats ! et depuis quan… A-t-on peur de rire et de boire ? Fête aux casernes ! fête au camp ! L’orgie a rougi leur moustache,
III. Cet homme fait venir, à l’heure où… Paris dormant encor. Des généraux français portant la t… Sur l’épaulette d’or ;
En Grèce ! en Grèce ! adieu, vous… Qu’enfin, après le sang de ce peup… Le sang vil des bourreaux ruissell… En Grèce, ô mes amis ! vengeance… Ce turban sur mon front ! ce sabre…
Après avoir souffert, après avoir… Tranquille, et du néant de l’homme… Tu dis je ne sais rien ¡!—Et je t… Ô lutteur, ô penseur, de cette réu… Maintenant, sans regret, sans dési…
« M.… Napoléon le Petit, et qui renferm… On raconte qu’un des jours de la s… Saint-Cloud. Lorsque Louis-Napol… du mépris sur les lèvres, puis s’a…
Le spectre que parfois je rencontr… —Pourquoi ris-tu ? Lui dis-je.—Il… Regarde. Il me montrait dans l’ombre un cim… J’y vis une humble croix près d’un…
Si j’étais la feuille que roule L’aile tournoyante du vent, Qui flotte sur l’eau qui s’écoule, Et qu’on suit de l’oeil en rêvant… Je me livrerais, fraîche encore,
Mugissement des boeufs, au temps d… Comme aujourd’hui, le soir, quand… Ou, le matin, quand l’aube aux cha… Verse à flots la rosée et le jour,… Mûrissez, blés mouvants ! prés, em…
Les femmes sont sur la terre Pour tout idéaliser ; L’univers est un mystère Que commente leur baiser. C’est l’amour qui, pour ceinture,
Elle était pâle, et pourtant rose, Petite avec de grands cheveux. Elle disait souvent : je n’ose, Et ne disait jamais : je veux. Le soir, elle prenait ma Bible
La querelle irritée, amère, à l’œi… Vipère dont la haine empoisonne la… Siffle et trouble le toit d’une pa… Les mots heurtent les mots. L’enf… La femme et le mari laissent l’enf…
Le toi… ANDRÉ CHÉNIER. Lorsque l’enfant paraît, le cercle… Applaudit à grands cris. Son doux regard qui brille