"Les contemplations (1856)" Mars 1842.
#ÉcrivainsFrançais
Il est des jours abjects où, sédui… Sans honneur, Les peuples au succès se livrent,… Du bonheur. Alors des nations, que berce un fa…
Là-haut qui sourit ? Est-ce un esprit ? Est-ce une femme ? Quel front sombre et doux ! Peuple, à genoux !
Pourquoi donc s’en est-il allé, le… Ils viennent un moment nous faire… Puis partent. Ces enfants, que no… Sont à quelqu’un qui n’est pas nou… Tu ne les vois donc pas, vieillard…
Le calife a puni les gens de la mo… Ses soldats sont venus ! Allah le… Car ils n’ont rien laissé de vivan… Maintenant, oh ! quel deuil dans c… Les os de tout un peuple y gisent…
Ô France, quoique tu sommeilles, Nous t’appelons, nous les proscrit… Les ténèbres ont des oreilles, Et les profondeurs ont des cris. Le despotisme âpre et sans gloire
Tout revit, ma bien-aimée ! Le ciel gris perd sa pâleur ; Quand la terre est embaumée, Le coeur de l’homme est meilleur. En haut, d’ou l’amour ruisselle,
Ce n’est pas le canon du noir vend… Ni les boulets de juin, ni les bom… Qui font la haine éteinte et l’ulc… Moi, pour aider le peuple à résoud… Je me penche vers lui. Commenceme…
Marchands de gre ! marchands de la… Philistins ! magisters ! je vous h… Car, dans votre aplomb grave, infa… Vous niez l’idéal, la grâce et la… Car vos textes, vos lois, vos règl…
À quoi je songe ?—Hélas ! loin du… Enfants, je songe à vous ! à vous,… Espoir de mon été déjà penchant et… Rameaux dont, tous les ans, l’ombr… Douces âmes à peine au jour épanou…
LE SÉNAT. Vibrez, trombone et chanterelle ! Les oiseaux chantent dans les nids… La joie est chose naturelle. Que Magnan danse la trénis
Ils ont dit : Nous serons les vai… Soldats par la tactique et par la… Nous détruirons progrès, lois, ver… Nous nous ferons un fort avec tous… Et pour nous y garder, comme des d…
L’étang mystérieux, suaire aux bla… Frisonne ; au fond du bois la clai… Les arbres sont profonds et les br… Avez-vous vu Vénus à travers la f… Avez-vous vu Vénus au sommet des…
On dit que je suis fort malade, Ami ; j’ai déjà l’oeil terni ; Je sens la sinistre accolade Du squelette de l’infini. Sitôt levé, je me recouche ;
Ami, vous revenez d’un de ces long… Qui nous font vieillir vite, et no… Au sortir du berceau. De tous les océans votre course a… Hélas ! et vous feriez une ceintur…
France ! à l’heure où tu te proste… Le pied d’un tyran sur ton front, La voix sortira des cavernes Les enchaînés tressailleront. Le banni, debout sur la grève,