"Les contemplations (1856)" Mars 1842.
#ÉcrivainsFrançais
Matelots ! matelots ! vous déploie… Vous voguerez, joyeux parfois, mor… Et vous regarderez aux lueurs des… La rive, écueil ou port, selon le… Envieux, vous mordrez la base des…
Canaris ! Canaris ! nous t’avons… Lorsque sur un héros le temps s’es… Quand le sublime acteur a fait ple… Et qu’il a dit le mot que Dieu lu… Quand, venus au hasard des révolut…
Lion ! J’étais pensif, ô bête pri… Devant la majesté de ta grave crin… Du plafond de ta cage elle faisait… Nous songions tous les deux, et tu… Ton regard était beau, lion. Nous…
J’atteignais l’âge austère où l’on… Où l’on cherche, enivré d’on ne sa… Afin de pouvoir dire éperdument J… Quelqu’un. J’entrais dans ma treizième année.…
En plein midi, quand l’astre est à… On se sent la sueur, tiède, perler… Les heures, groupe las, ne dansent… Tout fait la sieste ; on veut la g… La fleur se penche et dort ; et le…
Les siècles sont au peuple ; eux,… Ils en usent. Ô lutte étrange ! A… Chacun à grand bruit coupe une bra… Là, des éclats d’airain, là, des é… La colonne romaine ainsi que l’arc…
Donc, c’est moi qui suis l’ogre et… Dans ce chaos du siècle où votre c… J’ai foulé le bon goût et l’ancien… Sous mes pieds, et, hideux, j’ai d… Et l’ombre fut.—Voilà votre réqui…
Écoute-moi. Voici la chose nécessa… Être aimé. Hors de là rien n’exist… Être aimé, c’est l’honneur, le dev… C’est Dieu, c’est le démon, c’est… Cela dit, tout est dit. Pour que…
« Oh ! disaient les peuples du mon… Les derniers temps sont-ils venus… Nos pas, dans une nuit profonde, Suivent des chemins inconnus. Où va-t-on ? dans la nuit perfide,
C’est la nuit ; la nuit noire, ass… L’ombre immense élargit ses ailes… Dans vos joyeux palais gardés par… Dans vos lits de velours, de damas… Sous vos chauds couvre-pieds de ma…
Où sont-ils ? Sur les quais, dans… Dans l’égout, dont Maupas fait le… Dans la fosse commune affreusement… Sur le trottoir, au coin des porte… Pêle-mêle entassés, partout ; dans…
Tout est pris d’un frisson subit. L’hiver s’enfuit et se dérobe. L’année ôte son vieil habit ; La terre met sa belle robe. Tout est nouveau, tout est debout…
La femelle ? elle est morte. Le mâle ? un chat l’emporte Et dévore ses os. Au doux nid qui frissonne Qui reviendra ? personne.
—Oh ! comme ils sont goulus ! dit… Il faut leur donner tout, les ceri… Les pommes du verger, les gâteaux… S’ils entendent la voix des vaches… Du lait ! vite ! et leurs cris son…
Autrefois inséparables, Et maintenant séparés. Gaie, elle court dans les prés, La belle aux chants adorables ; La belle aux chants adorés,