"Les contemplations (1856)" Mars 1842.
#ÉcrivainsFrançais
Puisque rien ne t’arrête en cet he… Ni l’ombre du palmier, ni le jaune… Ni le repos, ni l’abondance, Ni de voir à ta voix battre le jeu… De nos sœurs, dont, les soirs, le…
LE SÉNAT. Vibrez, trombone et chanterelle ! Les oiseaux chantent dans les nids… La joie est chose naturelle. Que Magnan danse la trénis
Que je prenne un moment de repos ?… Koran, Zend-Avesta, livres sibyll… Talmud, Toldos Jeschut, Védas, l… Brahmes sanglants, santons fléchis… Les contes, les romans, les terreu…
Oh ! quand je dors, viens auprès d… Comme à Pétrarque apparaissait La… Et qu’en passant ton haleine me to… Soudain ma bouche S’entrouvrira !
Il n’avait pas vingt ans. Il avai… De tout ce qui peut être aimé, sou… Il avait tout terni sous ses mains… Les blêmes voluptés sur sa trace a… Sortaient, pour l’appeler, de leur…
Je rêvais dans un grand cimetière… De mon âme et des morts j’écoutais… Parmi les fleurs de l’herbe et les… Dieu veut que ce qui naît sorte de… Et l’ombre m’emplissait.
C’est une émotion étrange pour mon… De voir l’enfant, encor dans les b… Fleur ignorant l’hiver, ange ignor… Secouant un hochet devant Léviath… Approcher doucement la nature terr…
(Suite.) Car le mot, qu’on le sache, est un… La main du songeur vibre et trembl… La plume, qui d’une aile allongeai… Frémit sur le papier quand sort ce…
Toute espérance, enfant, est un ro… Dieu dans ses mains tient nos jour… Il les dévide à son fatal fuseau, Puis le fil casse et notre joie en… Car dans tout berceau
Hymne aux morts de juillet.… Ceux qui pieusement sont morts pou… Ont droit qu’à leur cercueil la fo… Entre les plus beaux noms leur nom… Toute gloire près d’eux passe et t…
Chaque enfant qu’on enseigne est u… Quatre-vingt-dix voleurs sur cent… Ne sont jamais allés à l’école une… Et ne savent pas lire, et signent… C’est dans cette ombre-là qu’ils o…
Moi qu’un petit enfant rend tout à… J’en ai deux ; Georges et Jeanne… Et l’autre pour lumière, et j’acco… Vu que Georges a deux ans et que… Leurs essais d’exister sont divine…
Tandis qu’au loin des nuées, Qui semblent des paradis, Dans le bleu sont remuées, Je t’écoute, et tu me dis : « Quelle idée as-tu de l’homme,
Mon vers, s’il faut te le redire, On veut te griser dans les bois. Les faunes ont caché ta lyre Et mis à sa place un hautbois. Va donc. La fête est commencée ;
La terre est au soleil ce que l’ho… L’un est fait de splendeur ; l’aut… Toute étoile est soleil ; tout ast… Autour des globes purs sont les mo… Et dans l’ombre, où l’esprit voit…