#ÉcrivainsFrançais
Le train siffle et repart dans la fumée qui se fond au ciel bas. C’est un long convoi de larmes et sur chaque quai où l’on se sépare de nouveaux bras agitent des mouchoirs. Mais celui-l...
La pièce est courte et l’acte est… As-tu regardé par derrière Le miroir s’enfonçait On y voyait une ombre De tous ceux qui sont morts on ne…
J’ai perdu le secret qu’on m’avait… Je ne sais plus rien faire Un moment j’ai cru que ça pourrait… Plus rien ne tient C’est un homme sans pieds qui voud…
Le feu est presque éteint Et devant quelqu’un pleure Où passe cette main Dont la chaleur demeure Il fait nuit
Un pas de plus vers le lac, sur les quais, devant la porte éclairée de la taverne. Le matelot chante contre le mur, la femme chante. Les bateaux se balancent, les navires tirent un peu ...
On passe comme des bœufs Sur le quai les lumières s’allonge… Le wagon tourne sur la roue du mil… Les chevelures se dressent dans la… Les mots qui passent font du bruit
La fontaine coule sur la place du… Le soleil déridé brille au travers… Les voix qui murmuraient sont bien… Il en reste encore quelques frais… J’écoute le bruit
Un arbre orienté vers le ciel Cette procession sombre On éclaire le monde avec des bougi… Tout se tient trop loin et dans l’… Un bruit de pas trouble la nuit
Le point de l’appareil montre le r… Le regard Le hasard des mots venant au bout… Le retard du lever de la toile Sous les lampes vides et presques…
Chemin faisant dans les clartés si… Dans l’obscurité complète le temps… Roulé au fond sombre du circuit et… Tout ce qui luit Qui s’éteint
Aucun mot n’aurait mieux pu, sans… Il le dit et tous ceux qui attenda… Il y avait au centre un grand nuag… Il n’y avait rien pourtant et dans… Un train passa derrière la barrièr…
Un baiser de tes lèvres mortes et le départ de cette auberge où j’aurais tout seul passé ma vie. Pas de cour, tout de suite la route et les vieilles diligences persistant dans la poussi...
Le mal est fait Les vagues dans le salon pénètrent… A travers les ouvertures blanches… L’ombre plus bleue contre les raie… C’est de l’air
Je ne peux pas me rappeler d’où me vient ce mal. Quelques mots de plus, quelques mots de plus que j’entends encore. Il avait une triste figure. Quand il eut parlé j’avais aussi une tris...
L’enseigne de la rue dévoile son m… Le bras tendu près du balcon porte… Les yeux sont agrandis par un dern… Le clocher devient bas Un nuage le casse