#ÉcrivainsFrançais
Un arbre orienté vers le ciel Cette procession sombre On éclaire le monde avec des bougi… Tout se tient trop loin et dans l’… Un bruit de pas trouble la nuit
Plus je crie plus le vent est fort La porte se ferme Emporte la fourrure et les plumes Et le papier qui vole Je cours sur la route après les fe…
La cloche qui sonne on ne l’entend… L’air est trouble Un bruit de pas glisse sur le pali… Personne n’entre Non personne ne veut entrer
Il faudrait passer là devant Paroles que le vent emporte Combien nous faudra-t-il de temps Encore une minute et je suis là Je reste seul contre la porte
J’ai peut-être mis au vestiaire plus que mes vêtements. Je m’avance, allégé, avec trop d’assurance et quelqu’un dans la salle a remarqué mes pas. Les rayons sont pleins de danseuses. Je...
Le vent trop fort ferme ma porte Emporte mon chapeau comme une feui… Tout a disparu dans la poussière Qui sait ce qu’il y a par derrière Un homme court sur l’horizon
Une honte trop grande a relevé mon front. Je me suis débarrassé de ces encombrantes guenilles et j’attends. Vous attendez aussi mais je ne sais plus quoi. Pourvu que quelque chose arriv...
Une minute à peine Et je suis revenu De tout ce qui passait je n’ai rie… Un point Le ciel grandi
Devant le bateau immobile Quelqu’un qui attend C’est le port qui bouge Il fait trop de vent le niveau de… tant la mer est lasse
L’arbre du soir, Pabat-jour de la lampe et la clef du repos. Tout tremble quand la porte s’ouvre sans éveiller de bruit. Le rayon blanc traverse la fenêtre et inonde la table. Une main ...
Enfin le vent plus libre passe La pointe fléchit sur sa trace Une vague s’efface plus loin Sur le champ le plan monte Le ciel s’incline lentement
Nous ne sommes plus là Les autres sont venus Pendant la nuit Je suis derrière Les visages que j’ai connus
Le soir Il y a des bras dans la rue qui s’… Des mains dans le jardin Des plaies qui saignent Il y a des murmures dans le vent
Il fait plus noir Les yeux se ferment La prairie se dressait plus claire Dans l’air il y avait un mouchoir Et tu faisais des signes
Que de libres ! Un temple dont les murs épais étaient bâtis en livres. Et là dedans, où j’étais entré on ne saura comment, je ne sais par où, j’étouffais ; les plafonds étaient gris de ...