#ÉcrivainsFrançais
Le clou est là Retient la pente Le lambeau clair au vent soulevé c… et celui qui comprend Tout le chemin est nu les pavés le…
Je vois enfin le jour à travers le… Les persiennes de la maison se sou… Et battent Mais le jour où je devais le renco… N’est pas encore venu
Le soir Il y a des bras dans la rue qui s’… Des mains dans le jardin Des plaies qui saignent Il y a des murmures dans le vent
Quand les premiers furent passés et que l’on attendait encore. Quand les derniers furent passés et que l’on n’entendit plus rien. La dernière étoile résistait au matin et tu ne pouvais ...
L’ombre et la rue dans le coin où… Les têtes attroupées écoutent ou r… L’œil passe du trottoir à l’instru… Les lames du bec de gaz tranchent… Le peuple est là et tous à la même…
Les bancs sont prisonniers Des chaînes d’or du mur Prisonniers des jardins où le sole… Près de la forêt vierge De la prairie étale
Dans la rue glissante il n’y avait d’autre bruit que celui de l’eau coulant dans les fossés bordés. Les glaces ne reflétaient plus aucune image. La nuit rampait au fond s’éclairant aux ...
La moitié de tout ce qu’on pouvait… Il y avait des danseurs près des p… Tout le monde dormait. D’une masse d’arbres dont on ne di… L’air se tenait tout entier.
Sur le bord du chemin où il s’est laissé tomber, les bras pendants, ses mains traînent dans le ruisseau où l’eau ne coule pas. La forêt s’ouvre sur sa tête et d’en haut le passant regar...
Quelqu’un vient de partir Dans la chambre Il reste un soupir La vie déserte La rue
La nuit polaire A bord les hublots sont ouverts Les trappes bâillent Assis sur le balcon qui se détache Le voilà sur fond bleu
Dans cet étrange faubourg en pleine ville où le plus obscur travail s’exécute, personne n’est jamais venu voir. Seul dans la nuit, dans la boue où tremblent des lumières rouges ou verte...
Au coin du bois Quelqu’un se cache On pourrait approcher sans bruit Vers le vide ou vers l’ennemi En tombant la nuit s’est fendue
Une longue aiguille traverse le ro… Un arbre Un doigt La lune borgne Une fenêtre qui nous lorgne
Oubli porte fermée Sur la terre inclinée Un arbre tremble Et seul