#ÉcrivainsFrançais
Le train siffle et repart dans la fumée qui se fond au ciel bas. C’est un long convoi de larmes et sur chaque quai où l’on se sépare de nouveaux bras agitent des mouchoirs. Mais celui-l...
Les mains ouvertes sur la poitrine… Il y a, derrière, une route qui mo… La pierre des marches s’incline au… La tache qui est au milieu n’est p… —c’est peut-être un trou.
Des trous du mur, des trous de la… X se battent. Qui les prendra ? Il n’y a personne à la table, pers… Quelqu’un veut sortir.
Quelqu’un vient de partir Dans la chambre Il reste un soupir La vie déserte La rue
Le fil descend. Du haut du ciel le fil descend, lourd, droit, noir—descend sur le sommet de la tête nue—la tête du vieillard qui s’arrête. Il est dans un jardin bordé de grilles, en cag...
Comment me défaire de ces quelques… Tout me suit Le monde devient de plus en plus p… C’est une course rapide et éternel… Comme la vie
Je ne peux plus regarder ton visag… Où te caches-tu La maison s’est évanouie parmi les… Et tu as quitté la dernière fenêtr… Où tu m’apparaissais
Aucun mot n’aurait mieux pu, sans… Il le dit et tous ceux qui attenda… Il y avait au centre un grand nuag… Il n’y avait rien pourtant et dans… Un train passa derrière la barrièr…
Enfin le vent plus libre passe La pointe fléchit sur sa trace Une vague s’efface plus loin Sur le champ le plan monte Le ciel s’incline lentement
A la pointe où se balance un mouch… Au fond noir qui finit le monde Devant nos yeux un petit espace Tout ce qu’on ne voit pas Et qui passe
Là-haut Le creux marin Au bord des hémisphères La houle passe en bloc par-dessus… Les racines du monde pendent
Le temps passe à des gens plus vieux. La lumière froide qui sort de leurs yeux n’appelle pas le jour. Ils regardent en dedans pour ne rien voir. Des gens, des souvenirs pénibles y remue...
On ferme la porte Le courant La croix Le panneau blanc s’écaille Les armes sur la main
A la suite du temps présent du dégoût soulevé le flanc couvert… Avec toutes la place pour le même… le métal de l’esprit lavé La main tiède sur la prunelle
Sur les mêmes couleurs le jour fil… La flèche d’or pur le traverse Sur l’arbre tendre et le rayon ame… Qui fond dans la forêt épaisse Au matin le ton est plus gris