#ÉcrivainsFrançais
En passant une seule fois devant c… mon front Qui est là Quel chemin est venu finir à cet e… Quelle vie arrêtée
Devant le bateau immobile Quelqu’un qui attend C’est le port qui bouge Il fait trop de vent le niveau de… tant la mer est lasse
J’aurai peut-être perdu la clé, et tout le monde rit autour de moi et chacun me montre une clé énorme pendue à son cou. Je suis le seul à ne rien avoir pour entrer quelque part. Ils ont...
Plus loin entre la plante grasse e… Dresser l’échelle Les formes qui remuent dans le fon… blanches d’autres noires Selon le mouvement brutal du réfle…
Dans cet étrange faubourg en pleine ville où le plus obscur travail s’exécute, personne n’est jamais venu voir. Seul dans la nuit, dans la boue où tremblent des lumières rouges ou verte...
Au pied de l’arbre, ce n’était qu’un ivrogne qui remuait au gré du vent. Son portrait est dans toutes les glaces, son esprit au fond de tous les verres. Est-ce une chose qui reste ? Il ...
On a transformé le trottoir en vél… On ne voit pas ses mains et le gui… On a peur de le voir tomber et qu’…
Sur les murs de cette salle, où le festin a lieu les traces de ta vie modeste et fade. Mais aujourd’hui les paroles sont plus fortes, les gestes sont plus grands, et le bruit plus joyeu...
Au matin qui se lève derrière le toit, à l’abri du pont, au coin des cyprès qui dépassent le mur, un coq a chanté. Dans le clocher qui déchire l’air de sa pointe brillante les notes son...
Mon doigt saigne Je t’écris Avec Le règne des vieux rois est fini Le rêve est un jambon
Sur le seuil personne Ou ton ombre Un souvenir qui resterait La route passe Et les arbres parlent plus près
Dans mon rêve la tête d’un enfant… Si les nuages s’accumulent sur ton… Mais aucune voix ne t’appelle. Si… L’édredon gardait le silence ; les…
On ferme la porte Le courant La croix Le panneau blanc s’écaille Les armes sur la main
Les voix qui s’élevaient tremblent… Tout est calme dans la clairière On pourrait voir passer ceux qui s… Sur cette route sans ornières D’où vient celui que l’on ne conna…
En attendant que la nuit sonne L’escalier reconnu Ou l’aile réveillée Le vent sur les oreilles A l’abri du mur