Le fil descend. Du haut du ciel le fil descend, lourd, droit, noir—descend sur le sommet de la tête nue—la tête du vieillard qui s’arrête. Il est dans un jardin bordé de grilles, en cage et le monde est autour. Les autres gens tournent autour, le long des arbres. Le temps est lourd, les yeux, les étincelles éclairent la nuit noire ou la lueur du film—cette lueur qui n’est pas encore dans sa tête.
Un nuage de suie se gonfle, avalanche de coton sans eau, la maison se gonfle aussi, la poitrine, les arbres se gonflent et la tête est perdue. La peau—sous les tiges de feu—ruisselle—et l’eau s’écarte de la masse d’huile qui glisse, qui joue—les gonds de la plus grande porte qui tourne. Le ciel fendu—le fil descend—l’éclair. Le monde à sa lueur est à peine entrevu.
Prose