Le vent revient plus tard du chemin reconnu
Les mains pendent au bord du livre
Tête nue l’homme traverse l’heure l’éclair le champ perdu
Sur la pointe où le ciel se fixe
L’étoile et son pignon
Quand les raies de couleurs arrêtent l’horizon
Une roue se détourne l’eau s’éveille en sueur
et les berges ruissellent
Une fenêtre glisse un regard imprévu
Entre le coin du mur et la flèche de l’arbre
Une ombre qui remue