"Poèmes saturniens (1866)"
#ÉcrivainsFrançais
L’ennemi se déguise en l’Ennui Et me dit : « A quoi bon, pauvre… Moi je passe et me moque de lui. L’ennemi se déguise en la Chair Et me dit : « Bah, bah, vive une…
Quand déjà pétillait et flambait l… Jeanne qu’assourdissait le chant b… Sous tous ces yeux dardés de toute… Sentit frémir sa chair et son âme… Et semblable aux agneaux que reven…
Je veux, pour te tuer, ô temps qui… Remonter jusqu’aux jours bleuis de… Et bercer ma luxure et ma honte au… De baisers sur Sa main et non plu… Le Tibère effrayant que je suis à…
(A Germain Nouveau) Dans une rue, au coeur d’une ville… Ce sera comme quand on a déjà vécu… Un instant à la fois très vague et… Ô ce soleil parmi la brume qui se…
L’âme antique était rude et vaine Et ne voyait dans la douleur Que l’acuité de la peine Ou l’étonnement du malheur. L’art, sa figure la plus claire
« Angels », seul coin luisant dans… Où flambe un peu de gaz et jase qu… C’est drôle que, semblable à tel t… Ton souvenir m’obsède et puissamme… Autour de mon esprit un regret rou…
Le Point-du-Jour avec Paris au l… Des chants, des tirs, les femmes q… La Seine claire et la foule qui f… Sur ce poème un vague essai de cha… On danse aussi, car tout est dans…
J’ai naguère habité le meilleur de… Dans le plus fin pays d’eau vive e… Quatre tours s’élevaient sur le fr… Et j’ai longtemps, longtemps habit… Le mur, étant de brique extérieure…
Né l’enfant des grandes villes Et des révoltes serviles, J’ai là tout cherché, trouvé, De tout appétit rêvé. Mais, puisque rien n’en demeure,
Fifi s’est réveillé. Dès l’aube t… Bonjour en deux baisers, et le pau… Pépia, puis remit sa tête sous son… Et tut pour le moment sa gente rit… Ici je te rendis pour les tiens un…
Sagesse d’un Louis Racine, je t’e… Ô n’avoir pas suivi les leçons de… N’être pas né dans le grand siècle… Quand le soleil couchant, si beau,… Quand Maintenon jetait sur la Fra…
Les choses qui chantent dans la tê… Alors que la mémoire est absente, Écoutez ! c’est notre sang qui cha… Ô musique lointaine et discrète ! Écoutez ! c’est notre sang qui ple…
De plus, cette ignorance de Vous… Avoir des yeux et ne pas vous voir… Une âme et ne pas vous concevoir. Un esprit sans nouvelles de Vous… O temps, ô mœurs qu’il en soit ain…
Les violons mêlaient leur rire au… Et le bal tournoyait quand je la v… Avec ses cheveux blonds jouant sur… De son oreille où mon Désir comme… S’élançait et voulait lui parler s…
Rustique beauté Qu’on a dans les coins, Tu sens bon les foins, La chair et l’été. Tes trente-deux dents