"Poèmes saturniens (1866)"
#ÉcrivainsFrançais
Donne ta main, retiens ton souffle… Sous cet arbre géant où vient mour… En soupirs inégaux sous la ramure… Que caresse le clair de lune blême… Immobiles, baissons nos yeux vers…
Je veux, pour te tuer, ô temps qui… Remonter jusqu’aux jours bleuis de… Et bercer ma luxure et ma honte au… De baisers sur Sa main et non plu… Le Tibère effrayant que je suis à…
Je… Mo… D’une aile inquiète et folle vole… To… D’…
Au sortir de Paris on entre à Not… Le fracas blanc vous jette aux acc… L’affreux soleil criard à l’ombre… Qui se pâme, aux regards des vitra… Et l’adoration à l’infini s’étire
Las ! je suis à l’Index et dans l… Me voici Paul V... pur et simple.… De mes amis, tant les éditeurs son… Doivent éliminer mon nom de leurs… Extraordinaire et saponaire tonner…
Parsifal a vaincu les Filles, leu… Babil et la luxure amusante—et sa… Vers la Chair de garçon vierge qu… D’aimer les seins légers et ce gen… Il a vaincu la Femme belle, au cœ…
Nous sommes en des temps infâmes Où le mariage des âmes Doit sceller l’union des cœurs ; À cette heure d’affreux orages, Ce n’est pas trop de deux courages
Car mon cœur, jamais fatigué D’être ou du moins de le paraître, Quoi qu’il en soit, s’efforce d’êt… Ou de paraître fol et gai. Mais, mieux que de chercher fortun…
Tout enfant, j’allais rêvant Ko-H… Somptuosité persane et papale Héliogabale et Sardanapale ! Mon désir créait sous des toits en… Parmi les parfums, au son des musi…
Les hauts talons luttaient avec le… En sorte que, selon le terrain et… Parfois luisaient des bas de jambe… Interceptés !– et nous aimions ce… Parfois aussi le dard d’un insecte…
Malheureux ! Tous les dons, la gl… Ton enfance chrétienne, une mère q… La force et la santé comme le pain… Cet avenir enfin, décrit dans le t… De ce passé plus clair que le jeu…
Brune encore non eue, Je te veux presque nue Sur un canapé noir Dans un jaune boudoir, Comme en mil huit cent trente.
Du fond du grabat As-tu vu l’étoile Que l’hiver dévoile ? Comme ton cœur bat, Comme cette idée,
Des yeux tout autour de la tête Ainsi qu’il est dit dans Murger. Point très bonne. Un esprit d’enf… Avec des rires d’alouette. Sculpteur, musicien, poète
Je suis venu, calme orphelin, Riche de mes seuls yeux tranquille… Vers les hommes des grandes villes… Ils ne m’ont pas trouvé malin. À vingt ans un trouble nouveau