Parallèlement (1889)
#ÉcrivainsFrançais
Deux reîtres saouls, courant les c… La fange d’un fossé profond, une c… Humaine dont la faim torve d’un lo… Venait de disloquer l’ossature à d… La tète, intacte, avait un rictus…
Les faux beaux jours ont lui tout… Et les voici vibrer aux cuivres du… Ferme les yeux, pauvre âme, et ren… Une tentation des pires. Fuis l’i… Ils ont lui tout le jour en longs…
Guerrière, militaire et virile en… La sainte Chasteté que Dieu voit… De toutes les vertus marchant dans… Après la Charité distante presque… Va d’un pas assuré mieux qu’aucune…
Tournez, tournez, bons chevaux de… Tournez cent tours, tournez mille… Tournez souvent et tournez toujour… Tournez, tournez au son des hautbo… Le gros soldat, la plus grosse bon…
Les roses étaient toutes rouges Et les lierres étaient tout noirs. Chère, pour peu que tu ne bouges, Renaissent tous mes désespoirs. Le ciel était trop bleu, trop tend…
Dieu, nous voulant amis parfaits,… Gais de cette gaîté qui rit pour e… De ce rire absolu, colossal et sup… Qui s’esclaffe de tous et ne bless… Tous deux nous ignorons l’égoïsme…
Comme la voix d’un mort qui chante… Du fond de sa fosse, Maîtresse, entends monter vers ton… Ma voix aigre et fausse. Ouvre ton âme et ton oreille au so…
De la douceur, de la douceur, de l… Calme un peu ces transports fébril… Même au fort du déduit, parfois, v… Doit avoir l’abandon paisible de l… Sois langoureuse, fais ta caresse…
Voici des fruits, des fleurs, des… Et puis voici mon coeur qui ne bat… Ne le déchirez pas avec vos deux m… Et qu’à vos yeux si beaux l’humble… J’arrive tout couvert encore de ro…
Une aube affaiblie Verse par les champs La mélancolie Des soleils couchants. La mélancolie
Moi qui ne suis qu’un brin d’hysop… Du Seigneur tout-puissant qui m’o… Je puis, si mon dessein est pur de… Purifier autrui passant sur mon ch… Je puis, si ma prière est de celle…
Puisque l’aube grandit, puisque vo… Puisque, après m’avoir fui longtem… Revoler devers moi qui l’appelle e… Puisque tout ce bonheur veut bien… C’en est fait à présent des funest…
Et maintenant, aux Fesses ! Je veux que tu confesses, Muse, ces miens trésors Pour quels—et tu t’y fies— Je donnerais cent vies
La chambre, as-tu gardé leurs spec… Ô pleine de jour sale et de bruits… La chambre, as-tu gardé leurs form… Par ces crasses au mur et par quel… Ah fi ! Pourtant, chambre en garn…
Le bruit des cabarets, la fange du… Les platanes déchus s’effeuillant… L’omnibus, ouragan de ferraille et… Qui grince, mal assis entre ses qu… Et roule ses yeux verts et rouges…