Parallèlement (1889)
#ÉcrivainsFrançais
Et maintenant, aux Fesses ! Je veux que tu confesses, Muse, ces miens trésors Pour quels—et tu t’y fies— Je donnerais cent vies
Les roses étaient toutes rouges Et les lierres étaient tout noirs. Chère, pour peu que tu ne bouges, Renaissent tous mes désespoirs. Le ciel était trop bleu, trop tend…
Tu m’as, ces pâles jours d’automne… À cause de tes yeux où fleurit l’a… Et tu me rongerais, en princesse… Du bout fin de la quenotte de ton… Fille auguste qui fis flamboyer ma…
Un solide gaillard ! dix-huit ans… Mains à vous arracher la tête de l… Sur un front bas et dur, cheveux r… Puis, à la danse, il a, ma foi, cr… Les enfants poussent drus aux fill…
Ce livre ira vers toi comme celui… S’en alla vers la Ville. Il fut chassé de Rome ; un coup b… Loin de mon fils m’exile. Te reverrai-je ? Et quel ? Mais q…
Un grand sommeil noir Tombe sur ma vie : Dormez, tout espoir, Dormez, toute envie ! Je ne vois plus rien,
L’église Saint-Nicolas Du Chardonnet bat un glas, Et l’église Saint-Étienne Du Mont lance à perdre haleine Des carillons variés
Parmi l’obscur champ de bataille Rôdant sans bruit sous le ciel noi… Les loups obliques font ripaille Et c’est plaisir que de les voir, Agiles, les yeux verts, aux pattes
Car tu vis en toutes les femmes Et toutes les femmes c’est toi. Et tout l’amour qui soit, c’est mo… Brûlant pour toi de mille flammes. Ton sourire tendre ou moqueur,
L’espoir luit comme un brin de pai… Que crains-tu de la guêpe ivre de… Vois, le soleil toujours poudroie… Que ne t’endormais-tu, le coude su… Pauvre âme pâle, au moins cette ea…
Ma douce main de maîtresse et d’am… Passe et rit sur ta chère chair en… Rit et jouit de ton jouissement. Pour la servir tu sais bien qu’ell… Et ton beau corps faut que je le d…
Leurs jambes pour toutes montures, Pour tous biens l’or de leurs rega… Par le chemin des aventures Ils vont haillonneux et hagards. Le sage, indigné, les harangue ;
Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu’on voit…
Bon chevalier masqué qui chevauche… Le Malheur a percé mon vieux coeu… Le sang de mon vieux coeur n’a fai… Puis s’est évaporé sur les fleurs,… L’ombre éteignit mes yeux, un cri…
Le foyer, la lueur étroite de la l… La rêverie avec le doigt contre la… Et les yeux se perdant parmi les y… L’heure du thé fumant et des livre… La douceur de sentir la fin de la…