"Sagesse (1881)"
#ÉcrivainsFrançais
Le Point du Jour, le point blanc… Le seul point blanc, grâce à tant… Et neuve et laide et que je t’en r… Le Point du Jour aurore des paris… Le bonneteau fleurit « dessur » la…
Ô Don Quichotte, vieux paladin, g… En vain la foule absurde et vile r… Ta mort fut un martyre et ta vie u… Et les moulins à vent avaient tort… Va toujours, va toujours, protégé…
Vers Saint-Denis c’est bête et sa… C’est pourtant là qu’un jour j’emm… Nous étions de mauvaise humeur et… Un plat soleil d’été tartinait ses… Sur la plaine séchée ainsi qu’une…
De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l’Impair Plus vague et plus soluble dans l’… Sans rien en lui qui pèse ou qui p… Il faut aussi que tu n’ailles poin…
J’ai vu passer dans mon rêve —Tel l’ouragan sur la grève,— D’une main tenant un glaive Et de l’autre un sablier, Ce cavalier
Dans le vieux parc solitaire et gl… Deux formes ont tout à l’heure pas… Leurs yeux sont morts et leurs lèv… Et l’on entend à peine leurs parol… Dans le vieux parc solitaire et gl…
« Quand je cause avec toi paisible… Ce m’est vraiment charmant, tu cau… Quand je dispute et te fais des re… Tu disputes, c’est drôle, et me fa… S’il m’arrive, hélas ! d’un peu te…
Un solide gaillard ! dix-huit ans… Mains à vous arracher la tête de l… Sur un front bas et dur, cheveux r… Puis, à la danse, il a, ma foi, cr… Les enfants poussent drus aux fill…
Le foyer, la lueur étroite de la l… La rêverie avec le doigt contre la… Et les yeux se perdant parmi les y… L’heure du thé fumant et des livre… La douceur de sentir la fin de la…
L’ombre des arbres dans la rivière… Meurt comme de la fumée, Tandis qu’en l’air, parmi les ramu… Se plaignent les tourterelles. Combien, ô voyageur, ce paysage bl…
Parmi la chaleur accablante Dont nous torréfia l’été, Voici se glisser, encor lente Et timide, à la vérité, Sur les eaux et parmi les feuilles…
Douze longs ans ont lui depuis les… Où le même devoir nous tenait côte… Hélas ! les passions dont mon cœur… Furieux ont troublé ma paix de ces… Et j’ai couru bien loin de nos cal…
Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu’on voit…
Les roses étaient toutes rouges Et les lierres étaient tout noirs. Chère, pour peu que tu ne bouges, Renaissent tous mes désespoirs. Le ciel était trop bleu, trop tend…
Je suis venu, calme orphelin, Riche de mes seuls yeux tranquille… Vers les hommes des grandes villes… Ils ne m’ont pas trouvé malin. À vingt ans un trouble nouveau