Parallèlement (1889)
#ÉcrivainsFrançais
Éloigné de vos yeux, Madame, par d… Impérieux (j’en prends tous les di… Je languis et je meurs, comme c’es… En pareil cas, et vais, le cœur pl… À travers des soucis où votre ombr…
Au bout d’un bas-côté de l’église… Contre le mur que vient baiser le… D’un long vitrail d’azur et d’or f… Le Crucifix se dresse, ineffablem… Sur sa croix peinte en vert aux ar…
Les sanglots longs Des violons De l’automne Blessent mon cœur D’une langueur
Le long bois de sapins se tord jus… L’étroit bois de sapins, de laurie… Avec la ville autour déguisée en v… Chalets éparpillés rouges dans le… Et les blanches villas des station…
Voici des fruits, des fleurs, des… Et puis voici mon coeur qui ne bat… Ne le déchirez pas avec vos deux m… Et qu’à vos yeux si beaux l’humble… J’arrive tout couvert encore de ro…
Quand déjà pétillait et flambait l… Jeanne qu’assourdissait le chant b… Sous tous ces yeux dardés de toute… Sentit frémir sa chair et son âme… Et semblable aux agneaux que reven…
Les longs rideaux de blanche mouss… Que la lueur pâle de la veilleuse Fait fluer comme une vague opaline Dans l’ombre mollement mystérieuse… Les grands rideaux du grand lit d’…
Un grand sommeil noir Tombe sur ma vie : Dormez, tout espoir, Dormez, toute envie ! Je ne vois plus rien,
Leurs jambes pour toutes montures, Pour tous biens l’or de leurs rega… Par le chemin des aventures Ils vont haillonneux et hagards. Le sage, indigné, les harangue ;
Une Sainte en son auréole, Une Châtelaine en sa tour, Tout ce que contient la parole Humaine de grâce et d’amour ; La note d’or que fait entendre
Vos narines qui vont en l’air, Non loin de vos beaux yeux quelcon… Sont mignonnes comme ces conques Du bord de mer de bains de mer ; Un sourire moins franc qu’aimable
Le coucher d’un soleil de septembr… La plaine morne et l’âpre arête de… Et de la brume au loin l’installat… Le Guadarrama pousse entre les sa… Son flot hâtif qui va réfléchissan…
Au sortir de Paris on entre à Not… Le fracas blanc vous jette aux acc… L’affreux soleil criard à l’ombre… Qui se pâme, aux regards des vitra… Et l’adoration à l’infini s’étire
Des yeux tout autour de la tête Ainsi qu’il est dit dans Murger. Point très bonne. Un esprit d’enf… Avec des rires d’alouette. Sculpteur, musicien, poète
Madame et Pauline Roland, Charlotte, Théroigne, Lucile, Presque Jeanne d’Arc, étoilant Le front de la foule imbécile, Nom des cieux, cœur divin qu’exile