Parallèlement (1889)
#ÉcrivainsFrançais
L’automne et le soleil couchant !… Du sang sur de la pourriture ! L’incendie au zénith ! La mort da… L’eau stagnante, l’homme fiévreux… Oh ! c’est bien là ton heure et ta…
Vous n’avez pas eu toute patience, Cela se comprend par malheur, de r… Vous êtes si jeune ! Et l’insouci… C’est le lot amer de l’âge céleste… Vous n’avez pas eu toute la douceu…
Il faut, voyez-vous, nous pardonne… De cette façon nous serons bien he… Et si notre vie a des instants mor… Du moins nous serons, n’est-ce pas… Ô que nous mêlions, âmes soeurs qu…
Je ne veux plus aimer que ma mère… Tous les autres amours sont de com… Nécessaires qu’ils sont, ma mère s… Pourra les allumer aux coeurs qui… C’est pour Elle qu’il faut chérir…
Briques et tuiles, Ô les charmants Petits asiles Pour les amants ! Houblons et vignes,
Sur mon front, mille fois solitair… Puisque je dois dormir loin de toi… La lune déjà maligne en soi, Ce soir jette un regard délétère. Il dit ce regard—pût-il se taire !
Despotique, pesant, incolore, l’E… Comme un roi fainéant présidant un… S’étire par l’ardeur blanche du ci… Et bâille. L’homme dort loin du t… L’alouette au matin, lasse, n’a pa…
Petits amis qui sûtes nous prouver Par A plus B que deux et deux fon… Mais qui depuis voulez parachever Une victoire où l’on se laissait b… Et couronner vos conquêtes d’un co…
Tu m’as, ces pâles jours d’automne… À cause de tes yeux où fleurit l’a… Et tu me rongerais, en princesse… Du bout fin de la quenotte de ton… Fille auguste qui fis flamboyer ma…
Le soleil, moins ardent, luit clai… Balancés par un vent automnal et b… Les rosiers du jardin s’inclinent… L’atmosphère ambiante a des baiser… La Nature a quitté pour cette foi…
Ils me disent que tu es blonde Et que toute blonde est perfide, Même ils ajoutent “ comme l’onde ”… Je me ris de leur discours vide ! Tes yeux sont les plus beaux du mo…
Eh quoi ! Dans cette ville d’eaux… Trêve, repos, paix, intermède, Encor toi de face et de dos, Beau petit ami Ganymède, L’aigle t’emporte, on dirait comme
Amour qui ruisselais de flammes et… Qu’est devenu ce temps, et comme e… La constance sacrée au chrême des… Elle ressemble une putain dont les… Empliraient cent bidets de futurs…
Désormais le Sage, puni Pour avoir trop aimé les choses, Rendu prudent à l’infini, Mais franc de scrupules moroses, Et d’ailleurs retournant au Dieu
Vers les prés le vent cherche nois… Aux girouettes, détail fin Du château de quelque échevin, Rouge de brique et bleu d’ardoise, Vers les prés clairs, les prés san…