"Poèmes saturniens (1866)"
#ÉcrivainsFrançais
Je ne suis plus de ces esprits phi… Et ce n’est pas de morale que tu t… Deux admirables conditions pour l’… Tel que nous l’entendrons, c’est-à… Aucun de bête convenance ou de lim…
La vie est bien sévère A cet homme trop gai : Plus le vin dans le verre Pour le sang fatigué, Plus l’huile dans la lampe
Mon fils est mort. J’adore, ô mon… Je vous offre les pleurs d’un cœur… Vous châtiez bien fort et parferez… Qu’alanguissait l’amour pour une c… Vous châtiez bien fort. Mon fils…
Voulant te fuir (fuir ses amours ! Mais un poète est bête), J’ai pris, l’un de ces derniers jo… La poudre d’escampette. Qui fut penaud, qui fut nigaud
L’ennemi se déguise en l’Ennui Et me dit : « A quoi bon, pauvre… Moi je passe et me moque de lui. L’ennemi se déguise en la Chair Et me dit : « Bah, bah, vive une…
Cuisses grosses mais fuselées. Tendres et fermes par dessous, Dessus d’un dur qui serait doux, Musculeuses et potelées, Cuisses si bonnes tant baisées
On n’offense que Dieu qui seul pa… On centriste son frère, on l’affli… On fait gronder sa haine ou pleure… Et c’est un crime affreux qui va t… Des simples, et donner au monde sa…
Vous voilà, vous voilà, pauvres bo… L’espoir qu’il faut, regret des gr… Douceur de cœur avec sévérité d’es… Et celle vigilance, et le calme pr… Et toutes !—Mais encor lentes, bi…
La myrrhe, l’or et l’encens Sont des présents moins aimables Que de plus humbles présents Offerts aux Yeux adorables Qui souriront plutôt mieux
Moi qui ne suis qu’un brin d’hysop… Du Seigneur tout-puissant qui m’o… Je puis, si mon dessein est pur de… Purifier autrui passant sur mon ch… Je puis, si ma prière est de celle…
Ô Belgique qui m’as valu ce dur lo… Merci ! J’ai pu du moins réfléchi… Dans le silence doux et blanc de t… Les raisons qui fuyaient comme des… À travers les roseaux bavards d’un…
Baiser ! rose trémière au jardin d… Vif accompagnement sur le clavier… Des doux refrains qu’Amour chante… Avec sa voix d’archange aux langue… Sonore et gracieux Baiser, divin…
La dure épreuve va finir : Mon coeur, souris à l’avenir. Ils sont passés les jours d’alarme… Où j’étais triste jusqu’aux larmes… Ne suppute plus les instants,
Votre âme est un paysage choisi Que vont charmant masques et berga… Jouant du luth et dansant et quasi Tristes sous leurs déguisements fa… Tout en chantant sur le mode mineu…
Je n’ai pas de chance en femme, Et, depuis mon âge d’homme, Je ne suis tombé guère, en somme. Que sur des criardes infâmes. C’est vrai que je suis criard