Jadis et naguère (1884)
#ÉcrivainsFrançais
Les morts que l’on fait saigner da… Se vengent toujours. Ils ont leur manière, et plaignez… Sous leurs grands coups sourds. Mieux vaut n’avoir jamais connu la…
Un singe en veste de brocart Trotte et gambade devant elle Qui froisse un mouchoir de dentell… Dans sa main gantée avec art, Tandis qu’un négrillon tout rouge
Tournez, tournez, bons chevaux de… Tournez cent tours, tournez mille… Tournez souvent et tournez toujour… Tournez, tournez au son des hautbo… Le gros soldat, la plus grosse bon…
Dieu, nous voulant amis parfaits,… Gais de cette gaîté qui rit pour e… De ce rire absolu, colossal et sup… Qui s’esclaffe de tous et ne bless… Tous deux nous ignorons l’égoïsme…
Le bonheur de saigner sur le cœur… Le besoin de pleurer bien longtemp… Le désir de parler à lui, bas à de… Le rêve de rester ensemble sans de… Le malheur d’avoir tant de belles…
Le pauvre du chemin creux chante e… Il dit : « Mon nom est Pierre et… Et je m’appelle aussi Duchatelet. Une fois je vis, moi qu’on croit t… Passer vraiment une femme très bel…
Ô toi triomphante sur deux « Rivales » (pour dire en haut sty… Tu fus ironique,—elles... feues— Et n’employas d’effort subtil Que juste assez pour que tu fus—
Parmi l’obscur champ de bataille Rôdant sans bruit sous le ciel noi… Les loups obliques font ripaille Et c’est plaisir que de les voir, Agiles, les yeux verts, aux pattes
Fauve avec des tons d’écarlate, Une aurore de fin d’été Tempétueusement éclate A l’horizon ensanglanté. La nuit rêveuse, bleue et bonne
Bien qu’elle soit ta meilleure ami… C’est farce ce que nous la trompon… Jusques à l’excès, sans penser mie À elle, tant nos instants sont bon… Nos instants sont bons !
La dure épreuve va finir : Mon coeur, souris à l’avenir. Ils sont passés les jours d’alarme… Où j’étais triste jusqu’aux larmes… Ne suppute plus les instants,
Opportet hæreses esse. Car il faut, en effet, encore, Que notre foi, donc, s’édulcore Opportet hæreses esse. Il fallait quelque humilité,
Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu’on voit…
Le son du cor s’afflige vers les b… D’une douleur on veut croire orphe… Qui vient mourir au bas de la coll… Parmi la bise errant en courts abo… L’âme du loup pleure dans cette vo…
Contrition parfaite, Les anges sont en fêtes Mieux d’un pêcheur contrit que d’u… Bon propos, la victoire Préparée et la gloire