"Parallèlement (1889)"
#ÉcrivainsFrançais
L’automne et le soleil couchant !… Du sang sur de la pourriture ! L’incendie au zénith ! La mort da… L’eau stagnante, l’homme fiévreux… Oh ! c’est bien là ton heure et ta…
Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie
Impérial, royal, sacerdotal, comme… République Française en ce Quatre… Brûlant empereur, roi, prêtre dans… Avec la danse, autour, de la grand… L’étudiant et sa guitare et sa for…
La cour se fleurit de souci Co… De… Qu… En flageolant sur leur fémur
Tout enfant, j’allais rêvant Ko-H… Somptuosité persane et papale Héliogabale et Sardanapale ! Mon désir créait sous des toits en… Parmi les parfums, au son des musi…
Ce n’est pas de ces dieux foudroyé… Ce n’est pas encore une infortune Poétique autant qu’inopportune, Lecteur de bon sens, ne fuyez ! On sait trop tout le prix du malhe…
Dans l’interminable Ennui de la plaine La neige incertaine Luit comme du sable. Le ciel est de cuivre
J’ai presque peur, en vérité, Tant je sens ma vie enlacée À la radieuse pensée Qui m’a pris l’âme l’autre été, Tant votre image, à jamais chère,
Un grand sommeil noir Tombe sur ma vie : Dormez, tout espoir, Dormez, toute envie ! Je ne vois plus rien,
D’autres, des innocents ou bien d… Ne trouvent dans les bois que char… Souffles frais et parfums tièdes.… D’autres s’y sentent pris rêveurs… Ils sont heureux ! Pour moi, nerv…
Je devine, à travers un murmure, Le contour subtil des voix ancienn… Et dans les lueurs musiciennes, Amour pâle, une aurore future ! Et mon âme et mon coeur en délires
Le chagrin qui me tue est ironique… Le sarcasme au supplice, et ne tor… Franchement, mais picote avec un f… Et transforme en spectacle amusant… Et, sur la bière où gît mon rêve m…
Pour sauver son époux, Çavitri fit… De se tenir trois jours entiers, t… Debout, sans remuer jambes, buste… Rigide, ainsi que dit Vyaça, comm… Ni, Curya, tes rais cruels, ni la…
Donne ta main, retiens ton souffle… Sous cet arbre géant où vient mour… En soupirs inégaux sous la ramure… Que caresse le clair de lune blême… Immobiles, baissons nos yeux vers…
Je suis né romantique et j’eusse é… En un frac très étroit aux boutons… Avec ma barbe en pointe et mes che… Hablant español, très loyal et trè… L’œil idoine à l’œillade et chargé…