Romances sans paroles (1874)
#ÉcrivainsFrançais
Mais après les merveilles Qui n’ont pas de pareilles De l’épaule et du sein, Faut sur un autre mode Dresser une belle ode
Roule, roule ton flot indolent, mo… Sur tes ponts qu’environne une vap… Bien des corps ont passé, morts, h… Dont les âmes avaient pour meurtri… Mais tu n’en traînes pas, en tes o…
La tristesse, langueur du corps hu… M’attendrissent, me fléchissent, m… Ah ! surtout quand des sommeils no… Quand les draps zèbrent la peau, f… Et que mièvre dans la fièvre du de…
Si tu le veux bien, divine Ignora… Je ferai celui qui ne sait plus ri… Que te caresser d’une main errante… En le geste expert du pire vaurien… Si tu le veux bien, divine Ignora…
Scaramouche et Pulcinella, Qu’un mauvais dessein rassembla, Gesticulent, noirs sur la lune. Cependant l’excellent docteur Bolonais cueille avec lenteur
Vous m’avez demandé quelques vers… Ce mien livre, d’émoi cruel et de… Déjà loin dans mon Œuvre étrange q… Et dévale, flot plus amer de jour… Qu’en dire, sinon : « Poor Yorick…
L’autel bas s’orne de hautes mauve… La chasuble blanche est toute en f… A travers les pâles vitraux jaunes Le soleil se répand comme un fleuv… On chante au graduel : Fi-li-a !
Ô Cloître Saint-Merry funèbre ! s… Je ne foule jamais votre morne pav… Sans frissonner devant les affres… Toujours ton mur en vain recrépit… Ô maison Transnonain, coin maudit,…
La lune blanche Luit dans les bois ; De chaque branche Part une voix Sous la ramée...
Tu fus une grande amoureuse À ta façon, la seule bonne Puisqu’elle est tienne et que pers… Plus que toi ne fut malheureuse, Après la crise de bonheur
Un grand sommeil noir Tombe sur ma vie : Dormez, tout espoir, Dormez, toute envie ! Je ne vois plus rien,
Opportet hæreses esse. Car il faut, en effet, encore, Que notre foi, donc, s’édulcore Opportet hæreses esse. Il fallait quelque humilité,
Les faux beaux jours ont lui tout… Et les voici vibrer aux cuivres du… Ferme les yeux, pauvre âme, et ren… Une tentation des pires. Fuis l’i… Ils ont lui tout le jour en longs…
Puis, déjà très anciens, Des songes de souvenirs, Si doux nécromanciens D’encor pires avenirs : Une fille, presque enfant,
Ce soir je m’étais penché sur ton… Tout ton corps dormait chaste sur… Et j’ai vu, comme un qui s’appliqu… Ah ! j’ai vu que tout est vain sou… Qu’on vive, ô quelle délicate merv…