Romances sans paroles (1874)
#ÉcrivainsFrançais
Tu m’as, ces pâles jours d’automne… À cause de tes yeux où fleurit l’a… Et tu me rongerais, en princesse… Du bout fin de la quenotte de ton… Fille auguste qui fis flamboyer ma…
Je suis dur comme un juif et têtu… Littéral, ne faisant le bien qu’av… Quand je le fais, et prêt à tout l… Mon esprit s’ouvre et s’offre, on… Je ne puis plus compter les chutes…
Toute grâce et toutes nuances Dans l’éclat doux de ses seize ans… Elle a la candeur des enfances Et les manèges innocents. Ses yeux, qui sont les yeux d’un a…
Toutes deux regardaient s’enfuir l… L’une pâle aux cheveux de jais, et… Et rose, et leurs peignoirs légers… Vaguement serpentaient, nuages, au… Et toutes deux, avec des langueurs…
Ô Cloître Saint-Merry funèbre ! s… Je ne foule jamais votre morne pav… Sans frissonner devant les affres… Toujours ton mur en vain recrépit… Ô maison Transnonain, coin maudit,…
Voix de Gabriel Chez l’humble Marie, Cloches de Noël, Dans la nuit fleurie, Siècles, célébrez
Les plus belles voix De la Confrérie Célèbrent le mois Heureux de Marie. Ô les douces voix !
Mais après les merveilles Qui n’ont pas de pareilles De l’épaule et du sein, Faut sur un autre mode Dresser une belle ode
Eh quoi ! Dans cette ville d’eaux… Trêve, repos, paix, intermède, Encor toi de face et de dos, Beau petit ami Ganymède, L’aigle t’emporte, on dirait comme
Le bruit de ton aiguille et celui… Sont le silence d’or dont on parla… Ah ! cessons de nous plaindre, ins… Et travaillons tranquillement au n… Quant à souffrir, quant à mourir,…
Un serpent, s’élançant du tronc cr… Darde son noir venin sur l’aigle a… Le noble oiseau s’abaisse et sa se… A bientôt châtié le reptile odieux… La bête, qui tordait ses anneaux a…
Souvenir, souvenir, que me veux-tu… Faisait voler la grive à travers l… Et le soleil dardait un rayon mono… Sur le bois jaunissant où la bise… Nous étions seul à seule et marchi…
Prince mort en soldat à cause de l… Âme certes élue, Fier jeune homme si pur tombé plei… Je t’aime et te salue ! Ce monde est si mauvais, notre pau…
L’ombre des arbres dans la rivière… Meurt comme de la fumée, Tandis qu’en l’air, parmi les ramu… Se plaignent les tourterelles. Combien, ô voyageur, ce paysage bl…
Murs blancs, toit rouge, c’est l’… Du grand chemin poudreux où le pie… L’Auberge gaie avec le Bonheur po… Vin bleu, pain tendre, et pas beso… Ici l’on fume, ici l’on chante, ic…