"Parallèlement (1889)"
#ÉcrivainsFrançais
Roule, roule ton flot indolent, mo… Sur tes ponts qu’environne une vap… Bien des corps ont passé, morts, h… Dont les âmes avaient pour meurtri… Mais tu n’en traînes pas, en tes o…
Nature, rien de toi ne m’émeut, ni… Nourriciers, ni l’écho vermeil des… Siciliennes, ni les pompes auroral… Ni la solennité dolente des coucha… Je ris de l’Art, je ris de l’Homm…
L’Océan sonore Palpite sous l’oeil De la lune en deuil Et palpite encore, Tandis qu’un éclair
L’espoir luit comme un brin de pai… Que crains-tu de la guêpe ivre de… Vois, le soleil toujours poudroie… Que ne t’endormais-tu, le coude su… Pauvre âme pâle, au moins cette ea…
Hier, on parlait de choses et d’au… Et mes yeux allaient recherchant l… Et votre regard recherchait le mie… Tandis que courait toujours l’entr… Sous le banal des phrases pesées
Tes cheveux bleus aux dessous roux… Tes yeux très durs qui sont trop d… Ta beauté qui n’en est pas une, Tes seins que busqua, que musqua Un diable cruel et jusqu’à
J’ai rêvé d’elle, et nous nous par… Non pas nos torts, il n’en est en… Mais l’absolu de nos opinions Et que la vie ait pour nous pris c… Simple elle était comme au temps d…
Je suis dur comme un juif et têtu… Littéral, ne faisant le bien qu’av… Quand je le fais, et prêt à tout l… Mon esprit s’ouvre et s’offre, on… Je ne puis plus compter les chutes…
Je fais souvent ce rêve étrange et… D’une femme inconnue, et que j’aim… Et qui n’est, chaque fois, ni tout… Ni tout à fait une autre, et m’aim… Car elle me comprend, et mon coeur…
L’incroyable, l’unique horreur de… Quand l’offense et le tort ont eu… Est un royal effort qui peut faire… Pour le souci de plaire et le soin… L’orgueil, qu’il faut, se doit pré…
Mais après les merveilles Qui n’ont pas de pareilles De l’épaule et du sein, Faut sur un autre mode Dresser une belle ode
Leurs jambes pour toutes montures, Pour tous biens l’or de leurs rega… Par le chemin des aventures Ils vont haillonneux et hagards. Le sage, indigné, les harangue ;
Les morts que l’on fait saigner da… Se vengent toujours. Ils ont leur manière, et plaignez… Sous leurs grands coups sourds. Mieux vaut n’avoir jamais connu la…
Le foyer, la lueur étroite de la l… La rêverie avec le doigt contre la… Et les yeux se perdant parmi les y… L’heure du thé fumant et des livre… La douceur de sentir la fin de la…
C’est une laide de Boucher Sans poudre dans sa chevelure Follement blonde et d’une allure Vénuste à tous nous débaucher. Mais je la crois mienne entre tous…