"La bonne chanson (1872)"
#ÉcrivainsFrançais
Un serpent, s’élançant du tronc cr… Darde son noir venin sur l’aigle a… Le noble oiseau s’abaisse et sa se… A bientôt châtié le reptile odieux… La bête, qui tordait ses anneaux a…
Daignez souffrir qu’à vos genoux,… Mon pauvre cœur vous explique sa f… Je vous adore autant et plus que… Et rien jamais n’éteindra ce beau… Votre regard, profond et rempli d’…
Toutes deux regardaient s’enfuir l… L’une pâle aux cheveux de jais, et… Et rose, et leurs peignoirs légers… Vaguement serpentaient, nuages, au… Et toutes deux, avec des langueurs…
Et l’enfant répondit, pâmée Sous la fourmillante caresse De sa pantelante maîtresse : « Je me meurs, ô ma bien-aimée ! « Je me meurs : ta gorge enflammée
J’avais peiné comme Sisyphe Et comme Hercule travaillé Contre la chair qui se rebiffe. J’avais lutté, j’avais baillé Des coups à trancher des montagnes…
Allons, mon pauvre cœur, allons, m… Redresse et peins à neuf tous tes… Brûle un encens ranci sur tes aute… Sème de fleurs les bords béants du… Allons, mon pauvre cœur, allons, m…
Un cachot. Une femme à genoux, en… Une tête de mort est gisante par t… Et parle, d’un ton aigre et doulou… D’une lampe au plafond tombe un ra… « Dame Reine.—Encor toi, Satan !…
Voix de l’Orgueil : un cri puissa… Des étoiles de sang sur des cuiras… On trébuche à travers des chaleurs… Mais en somme la voix s’en va, com… Voix de la Haine : cloche en mer,…
Bobèche, adieu ! bonsoir, Paillas… Place, bouffons vieillis, au parfa… Place ! très grave, très discret e… Voici venir le maître à tous, le c… Plus souple qu’Arlequin et plus b…
J’ai presque peur, en vérité, Tant je sens ma vie enlacée À la radieuse pensée Qui m’a pris l’âme l’autre été, Tant votre image, à jamais chère,
Ô Cloître Saint-Merry funèbre ! s… Je ne foule jamais votre morne pav… Sans frissonner devant les affres… Toujours ton mur en vain recrépit… Ô maison Transnonain, coin maudit,…
L’indulgence qui n’est pas de l’in… Et qui n’est pas non plus de la fa… De la paresse, pour un devoir défi… Monitoire au plaisir, bénin à la s… Non plus le scepticisme et ni préj…
Quand Marco passait, tous les jeu… Se penchaient pour voir ses yeux,… Où les feux d’Amour brûlaient san… Ta pauvre cahute, ô froide Amitié… Tout autour dansaient des parfums…
Je crois ce que l’Église catholiqu… M’enseigna dès l’âge d’entendement… Que Dieu le Père est le fauteur u… Et le régulateur absolument De toute chose invisible et visibl…
Vous reviendrez bientôt, les bras… Selon votre coutume, Ô Pères excellents qu’aujourd’hui… Pour comble d’amertume. Vous reviendrez, vieillards exquis…