"La bonne chanson (1872)"
#ÉcrivainsFrançais
Seul bijou de ma pauvreté. Ton mince argent, ta perle fausse (En tout quatre francs), ont tenté Quelqu’un dont l’esprit ne se haus… Parmi ces paysans cafards
Donc, ce sera par un clair jour d’… Le grand soleil, complice de ma jo… Fera, parmi le satin et la soie, Plus belle encor votre chère beaut… Le ciel tout bleu, comme une haute…
Mystiques barcarolles, Romances sans paroles, Chère, puisque tes yeux, Couleur des cieux, Puisque ta voix, étrange
Gloire à Dieu dans les hauteurs, Paix aux hommes sur la terre ! Aux hommes qui l’attendaient Dans leur bonne volonté. Le salut vient sur la terre...
Tu crois au marc de café, Aux présages, aux grands jeux : Moi je ne crois qu’en tes grands y… Tu crois aux contes de fées, Aux jours néfastes, aux songes,
L’ennui de vivre avec les gens et… Font souvent ma parole et mon rega… Mais d’avoir conscience et souci d… Exhausse ma tristesse, ennoblit mo… Alors mon discours chante et mes y…
Toutes les amours de la terre Laissant au cœur du délétère Et de l’affreusement amer, Fraternelles et conjugales, Paternelles et filiales,
Prince mort en soldat à cause de l… Âme certes élue, Fier jeune homme si pur tombé plei… Je t’aime et te salue ! Ce monde est si mauvais, notre pau…
En route, mauvaise troupe ! Partez, mes enfants perdus ! Ces loisirs vous étaient dus : La Chimère tend sa croupe. Partez, grimpés sur son dos,
Dans le vieux parc solitaire et gl… Deux formes ont tout à l’heure pas… Leurs yeux sont morts et leurs lèv… Et l’on entend à peine leurs parol… Dans le vieux parc solitaire et gl…
L’incroyable, l’unique horreur de… Quand l’offense et le tort ont eu… Est un royal effort qui peut faire… Pour le souci de plaire et le soin… L’orgueil, qu’il faut, se doit pré…
Le dernier coup de vêpres a sonné… Entrons donc dans l’Église et couv… Il y a peu de monde encore. Qu’il… C’est bon par ces temps lourds, ça… On allume les six grands cierges,…
Un projet de mon âge mûr Me tint six ans l’âme ravie, C’était, d’après un plan bien sûr. De réédifier ma vie. Vie encor vivante après tout.
Entends les pompes qui font Le cri des chats. Des sifflets viennent et vont Comme en pourchas. Ah, dans ces tristes décors
Le chagrin qui me tue est ironique… Le sarcasme au supplice, et ne tor… Franchement, mais picote avec un f… Et transforme en spectacle amusant… Et, sur la bière où gît mon rêve m…