"L'Amour la poésie"
#ÉcrivainsFrançais
Au soir de la folie, nu et clair, L’espace entre les choses a la for… La forme des paroles d’un inconnu, D’un vagabond qui dénoue la ceintu… Et qui prend les échos au lasso.
Il faut que la poule ponde : Poule avec ses fruits mûrs, Poule avec notre gain
Ma fille la papillonne Tu prends la forme de la coupe Où tu bois Où tu reflètes tes ailes.
Songe aux souffrances taillées sou… Aux petits amateurs de rivières to… Où promenade pour noyade Nous irons sans plaisir Nous irons ramer
Il fallait bien qu’un visage Réponde à tous les noms du monde.
Ramassez sous les chênes les tache… suivez en barque les troupeaux des… contemplez avec des cailloux dans… divisez en dansant le claquement d… voyez les femmes, à quarante ans,…
Toutes les femmes heureuses ont Retrouvé leur mari—il revient du s… Tant il apporte de chaleur. Il rit et dit bonjour tout douceme… Avant d’embrasser sa merveille.
Il pose un oiseau sur la table et… * Elle dit l’avenir. Et je suis cha… * Le cœur meurtri, l’âme endolorie,…
Ton rire est comme un tourbillon d… Froissant l’air chaud, l’enveloppa… Amer, tu annules toute tragédie, Et ton souci d’être un homme, ton… Je voudrais t’enfermer avec ta vie…
Les armes du sommeil ont creusé da… Les sillons merveilleux qui sépare… À travers le diamant, toute médail… Sous le ciel éclatant, la terre es… Le visage du cœur a perdu ses coul…
La valse est jolie, Les grands élans du cœur le sont a… Rues, Une roue valsait éperdument. Des roues, des robes, des chapeaux…
J’ai regardé devant moi Dans la foule je t’ai vue Parmi les blés je t’ai vue Sous un arbre je t’ai vue Au bout de tous mes voyages
Gagnerons-nous la mer avec des clo… Dans nos poches, avec le bruit de… Dans la mer, ou bien serons-nous l… D’une eau plus pure et silencieuse… L’eau se frottant les mains aiguis…
Le désespoir n’a pas d’ailes, L’amour non plus, Pas de visage, Ne parlent pas, Je ne bouge pas,
Petite table enfantine, il y a des femmes dont les yeux so… il y a des femmes graves comme les… il y a des femmes au visage pâle d’autres comme le ciel à la veille…