"L'Amour la poésie"
#ÉcrivainsFrançais
La nuit n’est jamais complète Il y a toujours puisque je le dis Puisque je l’affirme Au bout du chagrin une fenêtre ouv… Une fenêtre éclairée
Les Animaux et leurs hommes Découverte dans un œuf, L’araignée n’y entrera plus.
Une brise de danses Par une route sans fin Les pas des feuilles plus rapides Les nuages cachent ton ombre. La bouche au feu d’hermine
Ses yeux sont des tours de lumière… Sous le front de sa nudité. À fleur de transparence Les retours de pensées Annulent les mots qui sont sourds.
Le monde rit, Le monde est heureux, content et j… La bouche s’ouvre, ouvre ses ailes… Les bouches jeunes retombent, Les bouches vieilles retombent.
Des vers d’amour, j’en ai rarement… Je ne sais pas murmurer : « Je t’… En rythmes doux, qu’inspiré, l’on… Des mots subtils, par lesquels est… Le très cher lien, qui toujours, v…
Un bouquet tout défait brûle les c… Et le plumage entier de la perditi… Rayonne dans la nuit et dans la me… Plus d’horizon, plus de ceinture, Les naufragés, pour la première fo…
C’est ma mère, monsieur, avec ma f… Elles passent là-bas, l’une à l’au… La jeune m’a giflé, la vieille m’a… Je vous jure pourtant que je les a… Mais, constamment, j’avais le beso…
Le front aux vitres comme font les… Ciel dont j’ai dépassé la nuit Plaines toutes petites dans mes ma… Dans leur double horizon inerte in… Le front aux vitres comme font les…
La courbe de tes yeux fait le tour… Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne… Et si je ne sais plus tout ce que… C’est que tes yeux ne m’ont pas to…
Du soleil sur le dos, du soleil su… La tête grosse et immobile Comme un canon, Le porc travaille.
Hélas ! ma sœur, bête bête, Ce n’est pas à cause de ton chant, De ton chant pour l’œuf Que l’homme te croit bonne.
La nuit plus longue et la route pl… Lampes je suis plus près de vous q… Un papillon l’oiseau d’habitude Roue brisée de ma fatigue De bonne humeur place
Le désespoir n’a pas d’ailes, L’amour non plus, Pas de visage, Ne parlent pas, Je ne bouge pas,
Ses yeux ont tout un ciel de larme… Ni ses paupières ni ses mains Ne sont une nuit suffisante Pour que la douleur s’y cache. Il ira demander