"L'Amour la poésie"
#ÉcrivainsFrançais
Tourne sans reflets aux courbes sans sourires des ombres à moustaches, enregistre les murmures de la vitesse, la terreur minuscule, cherche sous des cendres froides les plus petits oise...
Le mensonge menaçant les ruses dur… Des bouches au fond des puits des… Et des vertus subites des filets à… Les envies d’inventer d’admirables… Des faux des pièges entre les corp…
Les filets des arbres ont pris bea… Natures, Les pattes des oiseaux ont pris le… À leurs os.
La nuit n’est jamais complète Il y a toujours puisque je le dis Puisque je l’affirme Au bout du chagrin une fenêtre ouv… Une fenêtre éclairée
Pour l’éclat du jour des bonheurs… Pour vivre aisément des goûts des… Pour se régaler des amours pour ri… Pour ouvrir les yeux au dernier in… Elle a toutes les complaisances.
Hélas ! ma sœur, bête bête, Ce n’est pas à cause de ton chant, De ton chant pour l’œuf Que l’homme te croit bonne.
Les bêtes qui descendent des faubo… Les oiseaux qui secouent leurs plu… Les terribles ciels jaunes, les nu… Ont, en toute saison, fêté cette s… Elle est belle, statue vivante de…
Vivant dans un village calme D’où la route part longue et dure Pour un lieu de sang et de larmes Nous sommes purs. Les nuits sont chaudes et tranquil…
Ombre de neige, Cœur blanc, sang pauvre, cœur d’en… Le jour. Il y a toujours le jour du soleil… Le ciel, bras ouverts, bon accueil
La pierre rebondit sur l’eau, La fumée n’y pénètre pas. L’eau, telle une peau Que nul ne peut blesser Est caressée
La bonne neige le ciel noir Les branches mortes la détresse De la forêt pleine de pièges Honte à la bête pourchassée La fuite en flèche dans le cœur
La vie est bien aimable. Venez à moi, si je vais à vous c’e… Les anges des bouquets dont les fl…
Caresse l’horizon de la nuit, cherche le cœur de jais que l’aube recouvre de chair. Il mettrait dans tes yeux des pensées innocentes, des flammes, des ailes et des verdures que le solei...
Le jour revient le jour est mainte… La terre s’ouvre et glisse et meur… Mais déjà les vivants ont accepté… Dans l’épaisseur de l’homme une ét… Et la femme soulève son enfant de…
La courbe de tes yeux fait le tour… Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne… Et si je ne sais plus tout ce que… C’est que tes yeux ne m’ont pas to…