"Répétitions"
#ÉcrivainsFrançais
Mon amour pour avoir figuré mes dé… Mis tes lèvres au ciel de tes mots… Tes baisers dans la nuit vivante Et le sillage des tes bras autour… Comme une flamme en signe de conqu…
Je me suis séparé de toi Mais l’amour me précédait encore Et quand j’ai tendu les bras La douleur est venue s’y faire plu… Tout le désert à boire
Larmes des yeux, les malheurs des… Malheurs sans intérêt et larmes sa… Il ne demande rien, il n’est pas i… Il est triste en prison et triste… Il fait un triste temps, il fait u…
A fait fondre la neige pure, A fait naître des fleurs dans l’he… Et le soleil est délivré. Ô fille des saisons variées, Tes pieds m’attachent à la terre
Terre irréprochablement cultivée, Miel d’aube, soleil en fleurs, Coureur tenant encore par un fil a… (Nœud par intelligences) Et le jetant sur son épaule :
Courir et courir délivrance Et tout trouver tout ramasser Délivrance et richesse Courir si vite que le fil casse Au bruit que fait un grand oiseau
Hélas ! ma sœur, bête bête, Ce n’est pas à cause de ton chant, De ton chant pour l’œuf Que l’homme te croit bonne.
Tu ne peux plus travailler. Rêve, Les yeux ouverts, les mains ouvert… Dans le désert, Dans le désert qui joue Avec les animaux—les inutiles.
La valse est jolie, Les grands élans du cœur le sont a… Rues, Une roue valsait éperdument. Des roues, des robes, des chapeaux…
Elle ne sait pas tendre des pièges Elle a les yeux sur sa beauté Si simple si simple séduire Et ce sont ses yeux qui l’enchaîne… Et c’est sur moi qu’elle s’appuie
Au soir de la folie, nu et clair, L’espace entre les choses a la for… La forme des paroles d’un inconnu, D’un vagabond qui dénoue la ceintu… Et qui prend les échos au lasso.
Je t’aime pour toutes les femmes q… Je t’aime pour tous les temps où j… Pour l’odeur du grand large et l’o… Pour la neige qui fond pour les pr… Pour les animaux purs que l’homme…
Je porte un panier de mauvais réve… Oubli du repos fenêtre sévère La forme du corps la forme sans fa… Et les mains bornées les folles dé… Je porte des mains à cueillir Déc…
Premier commandement du vent La pluie enveloppe le jour Premier signal d’avoir à tendre La voile claire à nos yeux Au front d’une seule maison
Dressé par la famine L’enfant répond toujours je mange Viens-tu je mange Dors-tu je mange.