#ÉcrivainsFrançais
La couleur de la lumière et celle… Le brouillard sans la splendeur du souvenir ensoleillé ne serait q… Tout cela Pierre
Des draps blancs dans une armoire Des draps rouges dans un lit Un enfant dans sa mère Sa mère dans les douleurs Le père dans le couloir
Celui-là, c’est le cheval qui vit tout seul quelque part très loin dans une ilé. Il mange un peu d’herbe ; derrière lui, il y a un bateau ; c’est le bateau sur lequel le cheval est venu...
Vampire de Cochon celui qui aime… Celui qui mange de tout peut se no… Charniers et abattoirs ossuaires et reposoirs grands pères grand’messes des mort…
Depuis des mois des ans Des heures et des jours La belle Marion en pleurs Sous l’orme attend l’amour
Breton sont restés et le temps, ce qu’on appelle et interpelle le temps, n’a rien à voir ni à entendre là-dehors ou là-dedans. Jean est surréaliste, peu importe ou exporte depuis quand....
Peindre d’abord une cage avec une porte ouverte peindre ensuite quelque chose de joli quelque chose de simple
Rousse rousse petite lune un vieux nuage gris te poursuit mais un bon crayon jaune écrit son nom soleil sur la porte… et le nuage crève et tu t’enfuis
Couronné d’étincelles Un marchand de pierres à briquet Élève la voix le soir Dans les couloirs de la station Javel
Je suis allé au marché aux oiseaux Et j’ai acheté des oiseaux Pour toi mon amour Je suis allé au marché aux fleurs
J’attends le doux veuvage j’attend… Il a mis en veilleuse ma lampe d’… J’attends le doux veuvage j’attend… En entrant au bordel il a retiré s… une femme à ma ressemblance
Depuis toujours toute la nuit la nuit a rendez-vous avec le jour Mais chaque nuit depuis toujours
Les grandes personnes que les enfants appellent leurs parents jetteront peut-être sur ce livre un coup d’œil distrait, amusé mais ne le verront ni ne l’entendront ni du même œil ni de l...
Cal’n et Abel avaient une sœur unique qu’il… Putain et Rebelle. Un beau jour ils s’entre-tuèrent p…
Il posa son chapeau sur le lit et… Miséricorde pénétra dans la chambr… il mit à vif la cicatrice de l’oub… - Nous avions de quoi vivre