Poésies nouvelles (1835)
#ÉcrivainsFrançais
Qui ! Moi, moi l’envier, la cherc… Moi, d’un immense écho flatter ma… Non, je n’y prétends point, mais j… Et je m’applaudis de mon choix ! Porter dans ses travaux la flamme…
Charme puissant qui nous maîtrise, Esprit léger, Pareil au duvet, que les brises Font voltiger ; Pauvre de tes douceurs absentes,
Je connais dans les bois, sur le f… La fleur qui sert d’asile aux song… Cours, ô jeune beauté, dépouille l… Que leurs dons parfumés s’assemble… Hâtons-nous de former la guirlande…
Heureux qui, dans l’essor d’une ve… Soumet à ses pensers un langage do… Qui ne sent point sa voix expirer… Ni la lyre impuissante échapper à… Et cherchant cet accord, où l’âme…
Que de ses blonds anneaux ton beau… Au ciel, jeune Mary, lève tes gra… Vois-tu sur l’horizon monter ce bl… Dont le soleil naissant teint les… Celui-là dans son sein n’enferme p…
Viens ! ô viens avec moi sur la me… Qu’aux vents capricieux ma barque… Tu seras ma compagne, alors que le… Colore l’Océan de son éclat verme… Ou lorsque, s’échappant de la nue…
L’éclair luit, le tonnerre gronde… Le voile d’une nuit profonde S’étend sur la face des cieux. D’où vient qu’en mon âme oppressée S’agite l’image effacée
Ô qu’il est beau cet esprit immort… Gardien sacré de notre destinée ! Des fleurs d’Eden sa tête est cou… Il resplendit de l’éclat éternel. Dès le berceau sa voix mystérieuse…
Entre mes doigts guide ce lin doci… Pour mon enfant tourne, léger fuse… Seul tu soutiens sa vie encore déb… Tourne sans bruit auprès de son be… Les entends-tu, chaste Reine des…
J’aime à voir dans ces chants, nob… Qu’enfantait immortels l’aveugle d… L’impétueux Ajax ceindre le fer d… Et parer le Troyen de son baudrie… J’aime, après ces héros de l’antiq…
Connaissez-vous ces bords qu’arros… Et dont les souvenirs, aimés du B… Ont réveillé la harpe amante des t… Connaissez-vous ces champs qu’un l… L’orgueil des noirs sapins que res…
Ils étaient là tous trois ! A tra… La lune révélait sur leurs mâles v… D’un héroïque espoir les présages… Sous leurs habits grossiers battai… Un serment généreux sort de ces bo…
Ne blâmez point la molle rêverie Qui m’aide à fuir les pensers glor… Je ne puis rien aux maux de ma pat… Je veux du moins en détourner les… Festins, où naît l’éclatante saill…
Oh ! pourquoi de ce Temps, l’étof… Ne pouvons-nous, dis-moi, jouir à… Sans le déchirer par lambeau ? Des trois formes qu’emprunte une e… Passé, présent, futur, l’homme n’e…
Oh ! ne puis-je étouffer les vains… Éloigner son calice amer, Fuir cette route obscure, où je su… Pour des aspects plus doux, un hor… Viens donc, oh ! viens à moi, bien…