Le livre de l’amie (1866)
#XIXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Dans l’ovale du cadre où s’éteint… Sous le verre, l’éclat d’un pastel… S’amortit en des tons gris de perl… Qu’il est vieux, et le temps lui f… C’est la mémoire encore, et ce fut…
A l’éclat du soleil j’aime à brûle… Je bois une liqueur arrière mais c… Et j’aime, dangereuse et triste po… A méditer la vie et l’histoire des… Je cherche comment l’homme osa fai…
Pendant qu’au loin la grave et len… Des cloches se répand, pareille au… Portant les saints de bois et les… La procession va, se développe et… Les bannières d’abord, presque san…
Malingres, laids, tendant de longs… Le corps cerclé de linge et les pi… A deux pas des maisons, sans espac… Les petits arbres vont en bandes a… Ils sont libres de croître aux pla…
L’horizon bleu, ceinture immense,… Dont l’âpre Océan vert couvre à m… L’air dans tout son azur n’a qu’un… Et la mer a le pouls régulier d’un… Le cormoran, pêcheur morose et sol…
Ô lèvres, fleurs de sang qu’épanou… Frais calice du souffle et rose du… Où, malgré moi, revient mon rêve s… Si douces que les mots ne peuvent… Lèvres, coupes d’amour après qui l…
Pour peu que le vent tombe ou saut… On part, à jeun souvent. C’est l’… C’est la pluie ou bien c’est, roug… Le soleil qui vous brûle au vif av… Ils savent comme un cri s’étrangle…
A m’avouer pour son amant Il faudra bien qu’on s’habitue. —Du marbre pur, rose et charmant. J’ai fait jaillir une statue. J’ai taillé le bloc de façon
Oh ! les mauvais dîners charmants Couvrant un seul bout de la table, Les faciles raffinements, Et le bonheur inévitable ! C’était trop chaud, c’était trop f…
Toujours l’extase des baisers ! Ne boire que la fleur des choses ! Les printemps sont malavisés ; Les roses ont tort d’être roses. Avoir toujours un oiseau bleu
Nez moyen. Œil très-noir. Vingt a… Les cheveux bien plantés sur un fr… Nom simple et très joli, que je ne… Signe particulier : ta maîtresse,… Une grâce, charmante et tout à fai…
Médaille d’or usée où la beauté pe… La saltimbanque au gré du public c… Étalait, sous le clair maillot, po… Des reliefs dont la ligne eût sédu… La jupe pailletée avait la couleur…
Nous nous rencontrerons Quelquefois par la ville, Et nous cous salûrons D’une façon civile. Un souvenir tout bas
C’était une de ces nuits blondes Qu’il fait après les jours brûlant… Pleine d’aurores vagabondes Et de crépuscules tremblants. Les arbres, décor sympathique
Quand on rêve, l’on est aimé si te… L’autre nuit, tu t’en vins avec mé… Appuyer sur mon cœur ton visage ch… Tu ne me disais pas : Je t’aime à… Tu ne me disais rien ; et, je ne s…