Le livre de l’amie (1866)
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Chère épave d’amour ! Se peut-il… Oh ! ne laissez jamais le doux êtr… Pleurant et souriant, dire : « Je… Ceux-là qui s’étaient joints, l’ab… Petite lettre écrite avec mélancol…
Avant l’amour fatal de ce qu’on ne… Je tends vers l’inconnu les forces… Je voudrais secouer mes ailes, et… A rencontrer partout l’ombre devan… Les étoiles où vont les rêves d’ic…
A l’abri de l’hiver qui jetait vag… Sa clameur, dans la chambre étroit… Où mourait un bouquet fait de ta f… Parmi les visions de l’étourdissem… Pendant qu’avec la joie extrême d’…
Il faudrait, pour quitter la ville… Suivant l’eau lentement, sans voil… Sur des nuages blancs aussi blancs… Le ciel d’été, l’azur étendrait so… Serré dans le granit comme dans un…
La ville que je veux serait je ne… Mais loin d’ici, dans l’Inde, ou… L’air bleuirait sa tour de porcela… Portant comme un bouffon des cloch… La maison que je veux serait celle…
Je veux, humiliant mon front et me… Prosterné devant toi comme on est… Sous le ciel de tes yeux qui font… Baiser pieusement tes pieds petits… J’étancherai, gardant tout mon dés…
Oh ! les mauvais dîners charmants Couvrant un seul bout de la table, Les faciles raffinements, Et le bonheur inévitable ! C’était trop chaud, c’était trop f…
Quand le travail s’arrête et quand… L’obscur logis s’éclaire et la vit… Vers l’âtre où le souci des mères… Elles pressent le pas et hâtent le… Le court fichu de laine alourdit l…
Brisé de mes élans insensés vers l… Triste, j’ai replié les ailes de m… Et, lâchement tombé dans les bras… La volupté m’endort sur ses lèvres… Et pourtant dans mon sang court un…
Nos coteaux, les plus purs de tous… Que, n’eût été la Grèce, auraient… Au bas de leurs sentiers poudrés d… Ont comme une hydre énorme éparse… La Ville nous fascine, étant moin…
Dans l’allée où l’on va souvent, p… Vous avez admiré la gravité folâtr… Des coucous du pays qu’on prendrai… Qui s’ouvrent à la fois, ou chante… Et partent sans ensemble au beau m…
Je ne vois pas tes yeux, mais je v… Tout ton être respire un grand air… A te sentir si fraîche en ta calme… Chavette ému tressaille, et Monse… Ta rondeur savoureuse aux poètes i…
C’est la terre sans fleurs de pour… Le champ dur qui nourrit les bras… Septembre dans le ciel a mis sa pâ… Et le soir au couchant se lit en u… L’heure qui vient n’a pas de fantô…
Ne leur en veuillons pas : Nos pauvres amoureuses Suivent à petits pas Des routes plus heureuses. Paris ne leur vaut rien :
Derrière l’épaisseur et le pur inc… Des lèvres, qu’en passant fait pal… On entrevoit les dents découvertes… Comme une aube à travers de frais… Ce n’est rien qu’un rayon, un file…