L’Adieu (1873)
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L’homme mûrit son cœur. L’arbre m… Voici l’heure des fruits, et voici… Où la terre a poussé des germes à… Debout, penseur ! voici l’avenir q… Va, guerrier ; ceins tes reins pou…
Ta bouche a deux façons charmantes… Deux charmantes façons : le rire e… Si vous voulez savoir celle que je… J’aime mieux celle-ci, mais l’autr…
C’est l’heure : je sais bien qu’el… Qu’elle n’a pas noué la furtive de… Et que mon désir vain ne dira pas… Devinant la musique exquise de ses… Je sais que les doux mots qu’avait…
Vous êtes la beauté. Vers, la pur… C’est de vous que naquit Vénus au… Et vous avez formé son corps victo… De votre onde mobile à la lumière… C’est vous, près des vaisseaux, qu…
Pure et blanche aux reflets du gra… Comme dans les tableaux la Vierge… Elle hâte du doigt la lente quenou… L’œil pensif et la tête avec grâce… Près d’elle son chien dort, gronde…
Tu peux bien ne pas revenir Si c’est à présent ton envie ; Mais redoute mon souvenir, Qui, malgré toi, t’aura suivie Dans les songes des nuits d’été
Ont-ils le droit, ceux-là qui s’év… Pris de peur et front bas, comme d… D’éteindre leur raison comme on ét… Et de faire la paix dans leur âme… A regarder sans fin l’obscurité pr…
Les femmes lentement descendent le… Et s’arrêtent au bord de la margel… Sur leur tête la cruche en argile… Demeure droite et tremble à peine… Le plaintif Océan, d’oit monte un…
Ta bouche était la coupe ardente o… Tes yeux étaient mon ciel, bleu co… Ivre, j’avais laissé l’espérance c… Passer avec l’amour sur la route o… Étant un amoureux, est-ce que je s…
Bien qu’elles soient d’un marbre p… Tes mains fines que j’adorai, Et que jamais la dent du hâle N’ait pu mordre leur grain nacré ; Ce n’est pas à quelque statue,
Comme pâlit la joue au baiser de l… Une invisible lèvre a touché la pe… Aux chevilles ; le sang glorieux l… Sans que leur neige en soit moins… Voici qu’un peu plus haut le divin…
Dans le matin qui naît les feux mo… Le jour incertain flotte et trembl… On ne voit presque plus les étoile… Et les rayons de l’astre inaperçu… Deux fiers chevaux, au vent plus f…
Voulant me croire aimé, vainqueur De mon âme triste et chagrine, Un jour que j’écoutais ton cœur Sous la rondeur de ta poitrine ; Loin que ton cœur, oiseau charmant…
Ô la plus douce et la meilleure de… Autour du cou deux bras enlacés si… Premier mot du désir, premier rêve… Et premier abandon de toutes les m… Puis vaincus et jetés parmi le flo…
L’horizon s’étend libre au loin, l… Étaler la splendeur de son immensi… Il a beau déployer un orbe illimit… Quelque vaste qu’il soit, notre âm… Rien n’a plus sa figure et rien n’…