L’Adieu (1873)
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Nez moyen. Œil très-noir. Vingt a… Les cheveux bien plantés sur un fr… Nom simple et très joli, que je ne… Signe particulier : ta maîtresse,… Une grâce, charmante et tout à fai…
La ville que je veux serait je ne… Mais loin d’ici, dans l’Inde, ou… L’air bleuirait sa tour de porcela… Portant comme un bouffon des cloch… La maison que je veux serait celle…
L’ombre bleuâtre et claire au mili… Comme un long voile plein de tache… Cache à peine la terre et flotte a… Le soleil, en rayant la légère épa… Forme des réseaux d’or où palpiten…
Sur l’Alpe étincelante et haute Le soleil tombe et se répand. Le chemin enlace à mi-côte La montagne comme un serpent. Ainsi que dans une revue
L’azur du soir s’éteint rayé de ba… Comme hors de son lit un fleuve dé… La lune se répand, et l’éther inon… Ruisselle, des coteaux aux plaines… Sous le voile muet de ces lueurs d…
Le soleil s’est levé du milieu des… Comme le premier-né divin des nuit… Déchirant, dans un vol de flammes… Du matin frissonnant les frêles mo… Les champs, l’eau, les forêts grav…
La porte encor fermée et les fenêt… À peine la maison sort des taillis… Un paysage exquis borne cet univer… Où l’on rêve, oublieux des effets… Le gai matin, qui rit dans la fraî…
Ainsi que la lueur d’une lampe d’o… Veillant dans une alcôve ou devant… Ainsi, rayon d’amour ou soupir imm… Le feu de la pensée éclaire le fro… Ta lucide beauté ne connaît point…
Le bonheur qui me dit des paroles… Prend au son de ta voix ses grâces… Afin d’avoir ma part de minutes cl… Je veux la chaîne souple et blanch… Je veux ta chevelure et le bruit d…
Voulant me croire aimé, vainqueur De mon âme triste et chagrine, Un jour que j’écoutais ton cœur Sous la rondeur de ta poitrine ; Loin que ton cœur, oiseau charmant…
Les champs sont comme des damiers Teintés partout du blé qui lève. Avril a mis sur les pommiers Sa broderie exquise et brève. Avant que les soleils brutaux
Quand elle part, sa grâce invente… Charmants, un gant laissé, la fenê… « Elle avait oublié de dire quelqu… C’est toujours puéril et c’est exq… La dernière caresse a fait ses bra…
C’est la terre sans fleurs de pour… Le champ dur qui nourrit les bras… Septembre dans le ciel a mis sa pâ… Et le soir au couchant se lit en u… L’heure qui vient n’a pas de fantô…
C’est l’antique forêt aux mille en… Le tilleul aux fleurs d’or embaume… Et la lune pensive, astre cher aux… Fait germer dans mon cœur d’ineffa… J’allais, et j’entendis,—poète las…
Quand les malheureux ont l’été Et le soleil pour leur sourire, Il semble qu’un peu de gaité Vienne atténuer leur martyre. Mais l’hiver, quand il fait si fro…