L’Adieu (1873)
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L’homme mûrit son cœur. L’arbre m… Voici l’heure des fruits, et voici… Où la terre a poussé des germes à… Debout, penseur ! voici l’avenir q… Va, guerrier ; ceins tes reins pou…
Le soleil des beaux yeux ne brûle… Plus tard il s’affaiblit ; plus tô… C’est un rayon d’avril, pâle encor… N’échauffant que la grâce au lieu… Au solstice de l’âge un instant ar…
Voici l’asile pur des champs : voi… Le potager étroit, le grand clos d… La cour vaste où les coqs grattent… L’aire, et le grain fécond où somm… Voici la prison blanche où le farn…
Le bonheur, ce n’est point aimer,… Le bonheur, ce n’est point savoir… Est-ce vivre ? La vie est-elle un… Est-ce mourir ? La mort n’est-ell… Ce n’est point se blesser à nos am…
L’éclosion superbe et jeune de ses… Pour enchaîner mes yeux fleurit su… Tels deux astres jumeaux dans la c… Palpitent dévolus aux suprêmes des… Vous contenez l’esprit loin des rê…
Le disque glorieux tombant dans le… Éclabousse d’éclairs le mur de la… Il semble que dans l’air apaisé to… Et que la mer farouche endorme son… La vague, avec un son mélancolique…
Le soir charmant qui fait rêver to… Tombe dans les vallons du haut des… Le ciel, rouge au couchant, à l’or… Comme les cordes d’or d’une lyre d… Les rayons du soleil oblique qui s…
C’était une de ces nuits blondes Qu’il fait après les jours brûlant… Pleine d’aurores vagabondes Et de crépuscules tremblants. Les arbres, décor sympathique
Sur la route du fleuve roi La rive veut rire et s’effraie ; Le ruisseau chuchote à part soi Et les peupliers font la haie. Bien que pressé d’aller au but,
L’azur du soir s’éteint rayé de ba… Comme hors de son lit un fleuve dé… La lune se répand, et l’éther inon… Ruisselle, des coteaux aux plaines… Sous le voile muet de ces lueurs d…
En plein air, sur l’estrade en pla… Aux sons du cuivre aigu faussant l… Pendant que les buveurs trinquent… L’hercule fait saillir les muscles… Ses deux bras sont croisés dans le…
Nos coteaux, les plus purs de tous… Que, n’eût été la Grèce, auraient… Au bas de leurs sentiers poudrés d… Ont comme une hydre énorme éparse… La Ville nous fascine, étant moin…
Distrait et grave comme un fou, Ayant mes rêves pour cortèges, Je vais un peu je ne sais où Par les pays où sont les neiges. Je vais, et je ne saurais pas
Appuyé sur les reins et sur les co… Des cuisses, au-dessous des mervei… Le ventre épanouit sa tension robu… Et joint par une courbe exacte les… Les tissus de la peau sont à peine…
Vous êtes la beauté. Vers, la pur… C’est de vous que naquit Vénus au… Et vous avez formé son corps victo… De votre onde mobile à la lumière… C’est vous, près des vaisseaux, qu…