Victoire Babois

Épitaphe d’une vieille femme.

Quatre lustres et trois printemps
Ont rempli ma triste carrière.
J’ai vu mourir ma tendre mère ;
J’ai vu mourir mes deux enfants ;
Hélas ! J’ai vécu bien longtemps.

Élégies et poésies diverses (1828)

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