Sonnet. Le dieu du laboureur est comme un… De chair et d’os, seigneur du cham… Le dieu de son curé règne aussi, m… Trois fois unique, esprit, fils et…
La fenêtre me raconte une histoire Une histoire fluide
Dans l’ombre silencieuse de la solitude, Les mots se réveillent, écho d’une âme en quête. Ils dansent, légers, sur les rives de l’incertitude, Porteurs de secrets, de douleurs, de prome...
Jours d’hivers Copeaux Mon ami les yeux rouges Suit l’enterrement Glace Je suis jaloux du mort Les gens tombent comme des mouches
Au cœur du territoire indien d’Ok… Un homme assis Dont l’œil est comme un chat qui t… Un homme cerné Et par sa fenêtre
Ses purs ongles très haut dédiant… L’Angoisse, ce minuit, soutient,… Maint rêve vespéral brûlé par le… Que ne recueille pas de cinéraire… Sur les crédences, au salon vide :…
Bonjour, le poète Alain s’est fai… Par un dard puissant et crémeux . Le cul ouvert aux amis .. les jam… Le coquin l as bien pénétré .. pi… Je suis fier de me faire sodomisé…
À mon insu, j’ai dit : « Ma chère… Pour « Madame », et, parti du cœu… Ce nom m’a fait d’une étrangère Une sœur. Quand la femme est tendre, pour el…
QUEL délicieux repas Tu feras (Si les dieux te prêtent vie) Chez moi, pourvu toutefoi Qu’avec toi
Rêve Toi douce et belle créature, toi m… En secret je t’admirais, je te tro… Sans cesse c’est vers toi que mes… Toujours avec toi je passais mes j…
Ceux qui me comprennent, disent que je suis triste. Ceux qui ne me comprennent pas, demandent ce que je veux. Ma sœur me dit qu’il
La nef qui longuement a voyagé, D… Dedans le sein du port à la fin on… Et le boeuf, qui longtemps a renve… Le bouvier à la fin lui ôte le col… Le vieux cheval se voit à la fin d…
Qui la méconnaîtrait cette terre s… Si chère à la valeur, des beaux-ar… Qu’un rayon du soleil, un seul cri… Couvre soudain de fleurs, de fruit… Qui, pareille à l’épi courbé par l…
Pour M. le duc de Bellegarde, à u… s’était imaginé qu’il était amoure… 1606. Philis, qui me voit le teint blême… Les sens ravis hors de moi-même,
Nous n’irons plus au bois, les viv… Prud’homme déclarait immorale et c… Ma longue extase aux pieds d’une m… Dont la grâce tenait tous mes jour… Tu n’iras plus au Bois, sinon dan…
La nuit avait semé ses nuages limp… Tout autour de la lune, astre rêve… Qui, du ciel bleu foncé sur l’onde… Semblait faire pleuvoir l’argent e… La voile, au long du mât, pendait…
À grands plis sombres une ample ta… De haute lice, avec emphase descen… Le long des quatre murs immenses d… Mystérieux où l’ombre au luxe se m… Les meubles vieux, d’étoffe éclata…
Contrerime XXV. Ô poète, à quoi bon chercher Des mots pour son délire ? Il n’y a qu’au bois de ta lyre Que tu l’as su toucher.
Par la chaîne d’or des étoiles viv… La Lampe du ciel pend du sombre a… Sur l’immense mer, les monts et le… Dans la molle paix de l’air tiède… Bercée au soupir des houles pensiv…
Douze longs ans ont lui depuis les… Où le même devoir nous tenait côte… Hélas ! les passions dont mon cœur… Furieux ont troublé ma paix de ces… Et j’ai couru bien loin de nos cal…
Pour M. le duc de Bellegarde, À madame la princesse de Conti. 1608. Dure contrainte de partir, À quoi je ne puis consentir,
On sait assez ce qu’est l’inspirat… Il n’y a pas à s’y méprendre ; c’e… On dit communément qu’elle y est o… l’intérêt, l’intelligence discursi…
« Que dirais-tu, ami, de ces homme… Qui s’aiment sans détour, qui s’em… Est-ce un mal, une faute, un capri… Ou juste des humains, comme nous,… On m’a demandé hier ce que je pens…
« En Europe ! en Europe !-Espére… « –Trois jours, leur dit Colomb,… Et son doigt le montrait, et son o… Perçait de l’horizon l’immensité p… Il marche, et des trois jours le p…
Calmes dans le demi-jour Que les branches hautes font, Pénétrons bien notre amour De ce silence profond. Fondons nos âmes, nos coeurs
Incurable gorgone et jeune jouvenc… Ici vielle matrone, envieuse blair… attendant sous la lune encombrée p… tout de l’un, rien de l’une, en pe… Déesse et si mystique en grisante…
Tu vois .. Sylvestre va frapper… C est les mots renversants sur le… Tu vois .. il nous amène une sant… Et la bienvenue d un nouveau né . Les amis vont s embrassés sous le…
Adieu, chère amie ! Quelle dure étape que la séparatio… C’est comme si l’on nous arrachait… Ce soir c’est une fin tragique de… Un pas difficile après des jours p…
En vain le jour succède au jour, Ils glissent sans laisser de trace… Dans mon âme rien ne t’efface, Ô dernier songe de l’amour ! Je vois mes rapides années
Tu nous rends l’égal des héros et… Et, nous procurant d’être les seul… Fais de nos orgueils des sommets r… Non plus ces foyers de troubles in… Tu brilles et luis, vif astre aux…
Une étincelle perla sur ma joue. Elle était si parfaite ! Son éclat me semblait doux Et mettait mon coeur en fête. Jamais je n’aurais cru un jour
Alors, si l’homme est juste et si… Offrant tout à Jésus, sa joie et… Ceux-là, dont le poète apporte un… Viendront comme un bel arbre épano… Alors, si l’Homme est sage et si…
Je suis la nuage blanche La feuille, l’oiseau chanteur, Tout ce que flotte de dans l’air Du vaste ciel de votre cœur Je suis la vague errant, calme
Quand la lune mène, et élève tous… Lâchée dans l’atmosphère, sans une… Puis les voir s’enflammer, dernièr… Pour tous ces hopposomes, qui nous… Un impact au summum, un gros tunne…
Seras-tu de l’amour l’éternelle pâ… À quoi te sert la volonté, Si ce n’est point, ô cœur, pour va… Et dans la paix enfin, plus fort q… T’asseoir sur le désir dompté,
Le grand Lion est mort. Il reste… Les fouines, les chiens, les rats… Ces bêtes ne sont pas absolument i… Elles savent manger nos plus sales… Et peuvent nettoyer nos plus puant…
Le petit est malade, le petit va mourir. Lui qui nous a donné la vue, qui a enfermé les obscurités dans les forêts de sapins, qui séchait les rues après l’orage. Il avait, il avait un e...
Amie précieuse C’est aujourd’hui que je réalise c… Ce que me donne l’Éternel qui fait… Ces nombreux privilèges qu’il m’of… Toujours un oeil sur moi, il veill…
Ni de son chef le trésor crépelu, Ni de son ris l’une et l’autre fos… Ni l’embonpoint de sa gorge grasse… Ni son menton rondement fosselu, Ni son bel oeil que les miens ont…
« A quoi songes-tu donc de t’engou… Serais-tu désormais à ce point rad… Géant qu’on disait si farouche ? Depuis plus d’un long mois, à quoi… D’être là, somnolent, de languir a…
Après le travail .. les copains v… Et le poète adorait regarder les m… Le plaisir de branler et de pomper… Les belles .. les bonnes bites ép… Le plaisir d avaler la semence ..…
Prendre une bouffée d’air frais, v… Regarder le soleil, en soi l’éveil… Une ogive nucléaire, coincé dans l… Fin de journée à terre, en soi une… Celle de notre être chère, éclaton…
C est la rubrique de l Étoile . Le poète Alain est un passeur des… Tu vois .. le roy Manuel s est f… Qui t as fait prince .. qui t as… Qui as fait les sulfureuses soirée…
(Sur la réduction de Marseille… les ordres du duc de Guise, gouver… 1596. Enfin, après tant d’années, Voici l’heureuse saison,
En la nef de bonne nouvelle Espoir a chargié Reconfort Pour l’amener, de par la belle, Vers mon cueur qui l’ayme si fort. A joye puist venir au port
Le cœur de l’homme Petit garçon frêle et sensible, Pour toi le bonheur parait impossi… Ici et là tu viens tu passes, Jamais l’on ne voit que ton cœur s…
C est un article sommaire treize… C est la rubrique sur le journal d… C est le temps fracturé .. des in… Les conflits armés et l Inflation… C est le poids des notes posées su…
Mon idéal n’est pas : mon ange, À qui l’on dit : mon ange, mange ; Tu ne bois pas, mon ange aimé ? Un pauvre ange faux et sans ailes Que les plus sottes ritournelles
Tu m’as, ces pâles jours d’automne… À cause de tes yeux où fleurit l’a… Et tu me rongerais, en princesse… Du bout fin de la quenotte de ton… Fille auguste qui fis flamboyer ma…
En souvenir je m’aventure Vers les jours passés où j’aimais, Pour visiter la sépulture Des rêves que mon cœur a faits. Cependant qu’on vieillit sans cess…
De l’éternel Azur la sereine iron… Accable, belle indolemment comme l… Le poète impuissant qui maudit son… À travers un désert stérile de Dou… Fuyant, les yeux fermés, je le sen…
Contrerime LXVII. Ô jour qui meurs à songer d’elle Un songe sans raison, Entre les plis du noir gazon Et la rouge asphodèle ;
Contrerime VII. Le microbe : Botulinus Fut, dans ses exercices, Découvert au sein des saucisses Par un Alboche en us.
C est le champoésies .. c est les… Du moulin de Bruyère et les mots… C est les cahiers bleus .. le cla… C est les nuances sur les cinquant… Des fragments à lire .. pour trouv…
C’est fou de penser que j’ai connu… Des histoires passionnées, des émo… Mais jamais je n’ai pu poser mes y… Lui, l’homme discret, que je consi… Ça a été toujours lui, le meilleur…
Sonnet CVII. Où que je tourne l’œil, soit vers… Vers les bains d’Antonin ou Diocl… Et si quelque œuvre encor dure plu… De la porte Saint-Pol jusques à…
Il faut écouter, amis, La parole des ancêtres. —Ne soyons jamais soumis ! Mais, d’où viennent tous les êtres… Donc pour cela, puis-je oser,
A chaque mérite L’humilité en profite, Utile réalisme, Tout prendre ou offrir Orgueil et mérite s’ agite,
Dieu vit au sein d’un cœur caché, Non d’un esprit épars, en milliers… En millions de mots hardis comme d… A tous les vents du ciel ou plutôt… Et d’un scandale tel, précisément…
Rencontre d Avril . 15 / 04 / 1983 . Tu vois .. ont s est connus en ha… De la Colline .. la muse de la p… Sur les hauteurs fleuris de Nice…