Ainsi, j’avais en vain suivi d’un… Mille rêves d’amour, de gloire et… Toujours ils avaient fui ; mon âme… Je me faisais pitié ! La douleur arrêtait ma course hale…
Après avoir longtemps erré sur le… Où l’on voit lamenter tant de chét… Tu as atteint le bord où tout le m… Fuyant de pauvreté le pénible serv… Nous autres cependant, le long de…
Entre les murs_de cette salle basse se mouvaient des esprits obscurs et d’autres extrêmement légers et lumineux. Un homme presque nu entra au milieu de ces toiles et dans ces étendues d...
Les fleuves au midi roulent de lar… Entre eux le grand lion dort, cach… Sous sa rousse crinière éparse. D… On voit monter au ciel sa chaude &… Comme un soupir gonflé de haine &…
C’est fou de penser que j’ai connu… Des histoires passionnées, des émo… Mais jamais je n’ai pu poser mes y… Lui, l’homme discret, que je consi… Ça a été toujours lui, le meilleur…
Églantine ! Humble fleur, comme mo… Ne crains pas que sur toi j’ose ét… Sans en être arrachée orne un mome… Et comme un doux rayon console mon… Quand les tièdes zéphirs s’endorme…
Adieu, mon joli cœur de rêve ! Souvenez-vous du Val-André Et de l’heure exquise et trop brèv… Où le soir mourait sur la grève Comme un andante de Fauré.
Sur les rives de mon chagrin, Tu t’es échouée. Brisée, ton corps secoué et Tes pleurs répétés. Sur les rives de mon chagrin,
Sonnet. 1624. À ce coup nos frayeurs n’auront pl… Grande âme aux grands travaux sans… Puisque par vos conseils la Franc…
Le carton blanc au mur c’est l’ovale d’un œil dont la pau… Devant la glace il manque la pendu… Les mains tiennent l’air dans la c… Mais on ne sait pas très bien ce q…
Quand, la dernière fois, dans le s… La troupe des neuf sœurs, par l’or… Lut l’Iliade et l’Odyssée ; Chacune à le louer se montrant emp… Apprenez un secret qu’ignore l’uni…
Lui Sa main Son corps Son coeur Ses lèvres
C’en est fait, j’ai brisé mes chaî… Amis, je reviens dans vos bras. Les belles ne vous valent pas ; Leurs faveurs coûtent trop de pein… Jouet de leur volage humeur,
Sonnet. La pudeur n’a pas de clémence, Nul aveu ne reste impuni, Et c’est par le premier nenni Que l’ère des douleurs commence.
Assis au bord de Seine, j’vois s’… Attendant ma superbe, tout ça en p… Pour ce moment de rêve, j’attendra… Regarde moi sourire, n’attendant q… C’est l’espoir qui fait vivre, ape…
Je ne sais plus d’où naissait ma c… Il a parlé... ses torts sont dispa… Ses yeux priaient, sa bouche voula… Où fuyais-tu, ma timide colère ? Je ne sais plus.
Chien chaud, Tout entier dans la voix, dans les… De ton maître, Prends la vie comme le vent, Avec ton nez.
Toujours le malheureux t’appelle, Ô Nuit, favorable aux chagrins ! Viens donc, et porte sur ton aile L’oubli des perfides humains. Voile ma douleur solitaire ;
Dans le parc du vieux château Je marche lentement Pour profiter de ces courts instan… Qui me restent encore Mes pas crissent sur les cailloux
Chacun sa route .. chacun son des… Chacun sa croix .. chacun son che… Tu vois l ami .. tu parts à la ch… Quand tu reviens .. tu n as plus… Tu cours nu au bord de l étang .
Les bêtes, qui n’ont point de subl… Marchent, dès leur naissance, en f… Et ce rigide pli, jusqu’à la derni… Signe mystérieux de sagesse y deme… Les énormes lions qui rôdent à gra…
Ne rêves-tu jamais à ces heures d’… Qui précèdent l’hymen de deux jeun… Quand l’amour, de leur cœur, comme… Déborde en sentiments mystérieux e… Dis, n’est-ce rien pour toi qu’une…
Sonnet IV. Je ne veux feuilleter les exemplai… Je ne veux retracer les beaux trai… Et moins veux-je imiter d’un Pétr… Ou la voix d’un Ronsard, pour cha…
Puisque le hasard m’y ramène, Pour mon malheur ou pour mon bien, Je veux que tu saches combien Ma maîtresse fut inhumaine. Pour l’oublier, j’ai tour à tour
Sonnet. Seigneur, change ma guerre en ta p… Échauffe les glaçons de mon cœur e… Et fais qu’à l’avenir je n’aie aut… Qu’à suivre le sentier où ta bonté…
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
Il y plusieurs manières D’un message transmettre De donner des informations Et de se faire connaître Sans jamais faire un son
Il ne faut plus courir à travers l… Enfant, ni sans congé vous hasarde… Vous êtes très petit, et vous avez… Que l’on vous aide encore à dire v… Que feriez-vous aux champs, si vou…
Notre maison est seule au creux de… Où le chant d’une source appelle d… Où le bout de jardin plein de légu… La roche qui nous tient dans son â… Septembre laisse choir sur les mol…
À Madame ***. Il est donc vrai, vous vous plaign… Vous dont l’oeil noir, gai comme u… Du monde entier pourrait chasser l… Combien donc pesait le souci